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Critiques de Jeffrey Lord (10)
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Blade, tome 1 : La hache de bronze

Voilà de la vraie "littérature de gare".

Petit livre vite écrit, vite lu, vite oublié.

Le héros est parfait autant physiquement que mentalement. Il accumule les aventures, s'en sort vainqueur sans souffrir, toutes les femmes (avec une plastique irréprochable) lui tombent dans les bras. Un vrai héros quoi !

Et l'écriture est plate, aucune différence de caractère du personnage dans les dialogues.

Bref, ce n'est pas pour moi car malheureusement, je n'ai pris aucun plaisir à ma lecture.
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Blade, tome 1 : La hache de bronze

Richard Blade est un agent secret britannique qui va servir de cobaye pour une expérience scientifique. Et il va se retrouver projeté dans une autre dimension et va vivre dans un monde moyenâgeux, violent, sanguinaire et cruel. C’est presque plus de la Fantasy que de la science-fiction. Le but de ce genre de série, c’est de proposer de l’action, des rebondissements, de l’amour et du sexe. On retrouve tous les stéréotypes du genre, le héros est beau et costaud, presque invincible, il se sort de toutes les situation possibles, les filles tombent toutes sous son charme, le machisme et le sexisme sont de rigueur. Ca fonctionne plutôt bien dans l’ensemble, les situations fâcheuses s’accumulent à un rythme effréné, à croire que les royaumes ennemis ne se situent qu’à dix ou douze kilomètres les uns des autres, c’est plus pratique pour enchainer les scènes de baston. Blade va se faire brûler, embrocher, empoisonner et il pète toujours la forme (Même pas mal !). L’écriture est assez plate, les personnages s’expriment tous de la même façon, les descriptions se contentent du strict nécessaire, c’est fait pour être vite lu et pour distraire, rien de plus et le but est parfaitement atteint. Il y a un côté produit formaté avec cahier des charges strict. Il m’a manqué une petite pointe d’ironie, une occasion pour en rire, un exagération dans le kitsch et le rocambolesque, comme j’aime trouver dans ce genre de littérature, encore que les combats sont plutôt pas mal. J’aime sentir que l’auteur s’est amusé à l’écrire, ici, je n’ai rien senti de tout ça, mais Jeffrey Lord est un nom générique qui cache 19 auteurs différents en 206 romans, alors pourquoi ne pas essayer un autre épisode un jour.
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Blade, tome 1 : La hache de bronze

La saga de Richard Blade débute à la toute fin des sixties. Selon la légende le concept est inventé par Philip K. Dick: un super espion britannique à la James Bond, Richard Blade, a la capacité de voyager dans la dimension X grâce à une invention révolutionnaire. Il débarque donc sur différents mondes, le plus souvent d'inspiration médiévale fantastique, nu et sans arme mais avec la capacité de comprendre immédiatement tous les dialectes des gens qu'il rencontre. Pratique.

Dans ce premier opus, Blade atterit dans le rêve humide d'un adolescent biberonné aux jeux de rôles qui s'est endormi avec un œil sur son poster de Frank Frazetta et un autre sur celui de (insérer le nom d'une porn star en vogue).

Grand spécialiste du bouquin de gare type "men's adventure" comme NICK CARTER KILLMASTER, Manning Lee Stokes sous le pseudo collectif de Jeffrey Lord a écrit les 8 premiers volumes de cette franchise avant d'être remplacé par divers auteurs. S'il existe seulement 37 romans originaux publiés aux USA, la Russie a proposé ses propres séquelles et, en France, la saga a été reprise par différents auteurs (en particulier Richard D. Nolane) et a finalement atteint plus de 200 volumes!

LA HACHE DE BRONZE nous offre un bel exemple de littérature pulp. Qui n'a pas rêvé de voir James Bond se la jouer Conan le Barbare dans un monde peuplé de nymphettes peu farouches? Qui? Bref…Richard Blade surgit dans Alb, rencontre la Princesse Taleen et lui porte assistance. Dès lors vont s'enchainer les affrontements contre des cannibales, de méchantes sorcières et des despotes qu'il faudra vaincre. Accessoirement Blade aura régulièrement droit à un repos du guerrier bien mérité en dépit de son endurance surhumaine et d'un kiki à rendre jaloux Ron Jeremy. Car si Blade débarque dans ces différents mondes avec sa bite et sans couteau il se servira beaucoup de la première et gagnera une hache après quelques chapitres. Blade se bat dans une arène contre le meilleur guerrier du pays, castagne un ours, se frite avec les pirates de Barbe Rouge, etc. Pas le temps de s'ennuyer!

Notre homme, expédié dans la dimension X, oublie son identité terrienne (ce qui lui permet de se fondre dans la masse) excepté lorsque l'auteur estime que celle-ci lui est utile ("mais oui je me souviens que je fréquentais le club d'initiation aux armes médiévales ce qui me rend super balèze"…ne jamais sous-estimer la créativité d'un romancier de quai de gare pour se tirer d'une situation périlleuse). Dans ce premier volume on se demande quand même où l'auteur veut en venir et pourquoi il est si important d'expédier ainsi, en exploration, ce "voyageur de l'infini"?

Comme beaucoup de production Heroic Fantasy de consommation courante, le roman se montre quelque peu répétitif (Blade se ballade beaucoup et rencontre de nombreux personnages mais les structures des événements se ressemblent souvent) mais, dans le même temps, le rythme reste soutenu. L'auteur aurait manifestement aimé passer deux ou trois volumes dans l'univers d'Alb mais, au bout de 200 pages, il faut renvoyer Blade à Londres dans l'attente de sa prochaine aventure. Et, entre les bastons et les scènes de sexe gratuites, les possibilités de "world building" restent limitées. Le cadre tient donc du décorum assez classique, à la manière d'un manuel d'initiation à Donjons et Dragons. Mais on s'en contentera.

En résumé, LA HACHE DE BRONZE se révèle divertissant, servi par un style au-dessus de la moyenne du genre: un côté emphatique bienvenu et un usage satisfaisant d'un vocabulaire soutenu, voire précieux. Dans ses tentatives littéraires, Manning Lee Stokes imite avec bonheur Robert E. Howard tout comme Lin Carter ou Sprague de Camp et, dans l'ensemble, le lecteur passe un bon moment avec ce récit d'aventures trépidants gentiment sexy.


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Blade, tome 162 : Blade contre Blade

richard blade ancien soldat des forces spéciales britannique, et recruté par

odisee des scientifiques

qui travaille pour la nasa,

et qui sont persuadés qu'au delà de notre système solaire il y a des mondes occupé par des être humain.pour le prouver ils ont mis au mis

au point un ordinateur,

capable de projeté un homme dans l,espace.

blade va subir un traitement a base d acuponcture qui fait de lui

un super soldat, décuplant

sa force et ses capacités

intellectuelles, et surtout qui doit lui permettre de résister a la téléportation.

il va parcourir des mondes

inconnus, peuplé de femmes fatales, de méchants,mais aussi de belles amitié.

une série dans la lignée de

Stargate, l,érotisme en plus,

il y a de l,action,même si la

fin et un peu répétitive

avec le retour sur terre.

qui fessait le sel des premiers épisodes ou on se demandait s, il aller pouvoir revenir.

mais bon une bonne série de science fiction, pour passer le temps.
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Blade, tome 46 : L 'émeraude de Jokkun

Après les trente-sept romans originaux publiés par trois auteurs américains sous le pseudonyme collectif de Jeffrey Lord, la France, qui édite Blade depuis 1974 chez Gérard de Villiers, poursuit la série avec des écrivains maisons. Généralement ils ne sont pas mentionnés ou uniquement en tant que traducteur ou adaptateur. Le même principe déjà utilisé pour L’EXECUTEUR et d’autres séries de chez GDV.

Avec L’EMERAUDE DE JOKKUN, Richard D. Nolane nous propose une aventure bien plaisante, entre la science-fiction rétro à la Burroughs (période John Carter) et la fantasy. Toutes les conventions répondent donc présents : extra-terrestre conquérant assimilé à une entité démoniaque, grand méchant, joyau possédant des pouvoirs extraordinaires, etc. Les péripéties correspondent, elles-aussi, aux demandes des lecteurs de littérature populaire : capture par des méchants pirates, combats nombreux, trahisons, séduction d’une demoiselle,…La recette n’est pas neuve mais fonctionne joliment et permet trois bonnes heures de délassement, lesquelles valent bien celles offertes par une quelconque série B d’héroic-fantasy des années ’80 (au hasard « Ator l’invincible » ou « Deathstalker »). Une pincée de violence, une poignée de scènes érotiques (pas trop longues ce qui évite tout ennui), de l’action efficace et un rythme soutenu. Le lecteur apprécie le métier de l’auteur et la recette bien mitonnée. Nous suivons avec plaisir notre Richard Blade une fois de plus projeté dans une dimension parallèle par les services secrets anglais pour combattre la tyrannie. Blade est uniquement armé de sa bite et son couteau. Et le bonhomme use beaucoup des deux ! Alors évidemment on reste dans le classique, sans beaucoup d’innovations, et le roman se montre un peu trop linéaire pour emporter pleinement l’adhésion mais la sauce prend néanmoins, jusqu’au coup de théâtre final qui permet à l’intrépide et héroïque Richard Blade de triompher, tout seul, de l’entité maléfique. Dans l’ensemble, un bon moment et un chouette bouquin d’évasion qui donne envie de découvrir d’autres aventures de Mr Blade.


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Blade, tome 35 : Les sept duchés du fleuve Cr..

Je ne connaissais pas la saga Blade, dont c'est l'opus 35 quand même déjà ici, ce serait temps de te réveiller ma grosse (oui, c'est comme ça que je me parle).



Alors, Richard Blade, c'est un aventurier spatio-temporel testostéroné. Le récit d'aventure est honnêtement conduit, divertissant, il met son casque et pffiou, il se retrouve projeté dans une dimension inconnue, dont on ne sait pas si elle se situe sur la même planète, dans un monde des possibles, ou dans un truc parallèle, rien n'est expliqué, et c'est là que le bât a blessé pour moi entre autre, et là, c'est en plein moyen-âge d'opérette qu'il débarque. Et bien sûr, lecteur, tu l'as deviné, il rencontre la nana de la couverture.



On sent bien que l'auteur n'a que de gros clichés aberrants en tête sur le moyen-âge, mais ça, c'est à peu près 95% de la population, rarement une surprise.



Le personnage, même archétypal, n'est pas trop sympathique, il ne l'est qu'à la toute fin, quand les malheurs qui lui tombent sur le coin de crâne semblent profondément l'affecter, avant ça, je l'ai trouvé assez cynique et froid, comme il adopte le premier camp qui se présente à lui, sans vraiment s'interroger sur les conséquences en pertes humaines de ses combats, ni qui a raison ou qui a tort. Et les scrupules chevaleresques, pas trop son truc non plus, prendre le plaisir partout où il le trouve, quitte à profiter du corps d'une jeune fille effarouchée forcée à la prostitution, à moitié traumatisée, oui mais comme c'est superman, il est le premier à faire éprouver du plaisir à la jeune fille et du coup à la dé-traumatiser.



Donc, moyen-âge d'opérette, dé-christianisé, sans code d'honneur chevaleresque, nous voilà, il fait des batailles, tout ça tout ça, on ne sait pas pourquoi il se range d'un côté ou d'un autre de la bataille, si c'est un hasard (il semble que oui), quel est son but, pourquoi il est là, pourquoi il s'investit au point de combattre dans cette dimension, pourquoi il tisse des liens, alors qu'il sait qu'il doit rentrer, bref, on ne sait rien, donc j'en déduis que le voyage spatiotruc n'est qu'un prétexte à un divertissant roman d'aventures, et que ce n'est pas plus profond que ça...



Le titre super mal traduit et ridicule n'avait rien pour attirer (The lords of the Crimson River, ça sonne mieux en anglais). J'ai bien aimé le singe à plumes utilisé comme tueur à gage, par contre, c'est une idée amusante.



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Blade, tome 186 : Le saboteur d'Harmonie

Tome 186 de la série de science-fiction mettant en scène le personnage de Richard Blade, Le saboteur d'Harmonie de Jeffrey Lord (pseudonyme qui cache les nombreux auteurs ayant collaboré à la série, dont l'écrivain français Patrick Eris pour le présent tome) en est un des plus pures exemples, alliant comme à l'habitude des éléments du roman d'espionnage avec la guerre entre les services secrets britanniques et une science-fiction typique des années 1950 et 1960 en les voyages multidimensionnelles de Richard Blade. Et comme pour tout roman populaire, ou roman de gare, les aventures et rebondissements sont nombreux et ne laissent guère un instant de répit au lecteur, ni même pour approfondir les personnages, tous caricaturaux et superficiels, ni les différents événements, tous conventionnels.



En bref, fidèle au reste de la série, ce tome 186 ne présente guère d'originalités et est avant tout qu'un pur divertissement, parfois quelque peu trop léger.



Pour les amateurs !
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Blade, tome 1 : La hache de bronze

La hache de bronze d’un dénommé Jeffrey Lord est le premier roman d’une série science-fiction qui connaîtra un succès discret mais perdurant sur plusieurs décennies. Cela au point que les éditions Vauvenargues en arrivent à publier en juillet 2011 le tome N°200...

...

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Blade, tome 185 : 864 âmes... plus une

Richard Blade, le Voyageur de l'infini, subit à son insu une enquête interne du MI5 visant à découvrir son rôle exact dans les services britanniques. C'est pour le MI5 l'occasion de tester une jeune médium aveugle chargée de découvrir ses secrets. Mais lorsque Richard Blade se soumet au projet DX pour se retrouver dans une autre dimension réduite à une île où la population est artificiellement maintenue à 864 âmes, il s'apercevra que la médium a réussie à le suivre dans sa translation.Mais est-ce vraiment la même personne? Et quel est le secret de cette île aux moeurs si étranges? Son apparence paisible cache hélas un bien plus terrible secret, et Blade le découvrira à ses dépens...
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Blade, tome 200 : L'arche de bronze

ans ce tome-ci , tout est mis en place pour nous refaire découvrir les aventures de Richard Blade depuis ses débuts, de nombreux explicatifs sont donnés, et l’intrigue semble aller vers l’effacement ...

...

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