Nous rentrons à Miami un vendredi soir, deux jours plus tard, et à l'aéroport les ondes malsaines dégagées par une foule qui s'insulte et se bouscule autour des tapis à bagages m'arracheraient presque une larme. Quelqu'un essaie d'embarquer la valise de Rita et m'aboie dessus quand je la lui prends: c'est l'accueil qu'il me fallait. C'est bon de rentrer chez soi!