Que ce soit par la parole, par l’écrit, par le blocage, par l’autonomie, par l’entraide, par la démission, par le sabotage : faisons sauteur la banque.
Mon objectif est de décrire, d’une manière critique mais réelle et vécue, soigneusement référencée et argumentée : le rôle structurel de la finance – grande architecture de la civilisation techno-industrielle – dans les désastre écologique et son corrélat d’aliénations sociales.
Le capitalisme est mort. Et bien que ces terres encore vierges sur le point d’être broyées, que ces vies encore fragiles sur le point d’être noyées, ne verront peut-être jamais éclore leur lendemain, le capitalisme est bel et bien mort dans son essence, en tant que concept et force structurante de nos affects. Plus vite nous rendrons les armes avec humilité devant cette incontournable réalité, plus la vie dans sa diversité aura de chances de se régénérer.