Derrière les vitres teintées de son bureau, le proviseur Ortiz penche son regard vers cette nouvelle fournée d'élèves. Des fainéants, des délinquants, des obsédés sexuels, des médiocres qui ne feront jamais rien de leur vie, autant de boulets attachés à ses chevilles. Voilà grosso modo ce qu'il pense à cet instant.