Il y a de ça une paire d'années, en pleine crise de douleur nocturne, j'ai eu envie de voyager. Virtuellement, à défaut de pouvoir le faire en vrai. Destination : Hawaii. Le matin au réveil, surprise en découvrant le mail récapitulatif de commande avec trois bouquins d'occasion... Mais bon, ça arrive souvent. Et j'ai fait bien pire depuis. Mes six peluches carpe koi confortablement installées sur mon lit ne vont cependant pas s'en plaindre.
« Les mariés de Hawaii » est donc le récit qui m'a fait acheter le livre, et même pas pour son résumé. Or, pour une fois, le résumé, il reflète très bien le contenu, contrairement au titre français, moins évocateur que le « Trouble in Paradise » original. Et c'est un régal que de voir à quel point la malchance poursuit Carrie et Kurt ! Pas un chapitre sans une ou plusieurs nouvelles tuiles qui donnent au récit un côté joyeusement loufoque, mais en restant toujours crédible, dans le domaine du possible. Avoir affaire à un couple déjà formé change un peu, et la dynamique entre Carrie et Kurt fonctionne très bien. On croit à leur couple, leurs petits soucis, leurs familles radicalement différentes. La culture hawaïenne est très présente au sein de l'histoire, notamment via de nombreux mots non traduits, et l'île de Kauai est magnifiquement décrite. Le roman ne fait que 146 pages, imprimées plus gros que les publications actuelles de l'éditeur, mais même s'il est court, ne parait absolument pas expédié et son rythme est parfait. On notera même la présence d'un personnage secondaire trans, certes mégenrée et deadnamée la première fois qu'elle est mentionnée, mais plus par la suite. Pas si mal, pour une histoire parue en 2008 ! Donc ouais, « Les mariés de Hawaii », c'est l'un de ces romans qui te font aimer la lecture, que tu kiffes du début à la fin, sans t'ennuyer une seconde, en te laissant embarquer aux côtés des persos dans un décor de rêve. J'ai adoré. (10/10)
A l'inverse, le résumé de « Au défi d'aimer » semble avoir été rédigé par quelqu'un qui n'a pas lu le livre ! Trish n'a jamais été fiancée et n'a rompu avec personne, si ce n'est, des années plus tôt, avec son petit ami du lycée, à cause de leurs aspirations radicalement différentes : Mark est un pur campagnard, tandis qu'elle n'aspire qu'à vivre à New York. Le concours auquel elle a participé n'était pour elle qu'un moyen d'y voyager, à défaut d'avoir les moyens autrement. Et c'est à Mark qu'elle demande de jouer le marié factice. La suite, vous la devinez, ces deux-là s'aiment toujours et aimeraient bien, chacun de leur côté, que ce faux mariage en soit un vrai. Trish et Mark sont très mignons et si l'histoire, très classique, ne surprend jamais, elle se lit avec plaisir. En revanche, la fin abrupte qui coupe avant le plus important, bof. Avec ses 110 pages, ce texte est le plus court du recueil mais aurait clairement mérité une dizaine de plus. (6/10)
Encore une fois, le résumé de « Noces vénitiennes » ne correspond vraiment pas à l'histoire : Dayle n'a jamais rêvé de se marier à Venise, elle profite que son associé s'y rende pour y organiser son mariage afin d'échapper à sa mère qui veut tout prendre en main... Ce mariage, d'ailleurs, ne l'emballe pas plus que ça, et pour cause : elle est amoureuse de son son associé mais nage en plein dans le déni et ce, jusqu'à l'avant-dernière page. Au début de l'histoire, passe encore, mais au bout d'un moment, ça n'est plus crédible, juste agaçant. Max ne vaut pas mieux : à la draguer ouvertement sans arrêt, MÊME si ça ne dérange pas Dayle, il donne surtout l'impression d'être un gros lourd, même s'il se réveille un peu avant elle. Ajoutez à ça le fait que nos deux loustics n'arrivent à Venise qu'à la moitié du récit... Bref, c'est longuet, les persos sont des aimants à baffes (au moins vont-ils bien ensemble), même si leurs dialogues sont savoureux, ça ne suffit malheureusement pas à sauver les meubles. (5/10)
Ce recueil thématique partait donc très bien, mais passé le premier récit absolument parfait, les deux autres plus qu'anecdotiques font, malheureusement, de ce recueil une lecture en demi-teinte.
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Le sujet aborder dans ce livre est vraiment addictif quand on le commence on peux pas s'arrêter en tout cas un livre vraiment sympa à lire
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Un roman d amour sympa a new york. Sans plus.
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une romance intéressante !! Après en voyant la couverture et le résumé je m'attendais à autre chose d'où une certaine déception, mais bon j'ai quand même passé un bon moment de lecture...
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Sympathique mais sans plus. Pas assez de profondeur, heureusement que l’héroïne à un sacré caractère sinon l’histoire aurait pu être vraiment fade.
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Mais c'est quoi ce roman ?
Un titre accrocheur et au final le roman le moins érotique que j'ai lu à ce jour Un roman que je n'ai pas choisi d'acheter , encore un de ceux qui tombent dans ma PAL et que je lis pour passer le temps lors de mes insomnies
Il faudra que je fasse demander à Van , la copine de ma fille qui me fournit , ses impressions sur ces romances et en particulier sur celle ci car vraiment je me demande bien à quoi l'auteur à pensé en lui donnant un titre aussi fort
Tout semblait cependant assez prometteur,des bonnes idées pour en faire une bonne histoire la fille friquée qui défie son père avec l'ouverture d'un hôtel assez particulier , rien que le nom çà promet Le Libertin
Mark l'avocat doit l'en dissuader et la persuader d'en faire un hôtel plus classique afin de ne pas ternir l'image des Devon , magnat de l’hôtellerie sinon l'enfant chérie de la presse à scandale se verra déshéritée
Bizarre, le père qui se fiche que sa débauchée de fille défraie la chronique depuis son plus jeune age décide brusquement de s’inquiéter du nom qu'elle va ternir.
On voit bien que l'auteur maitrise son sujet sur le thème de hôtellerie mais pour le reste , c'est d'une platitude
Avec 36 voluptés annoncées , on s'attend à des scènes de scènes torrides mais non juste quelques petites scènes mignonnettes dans un antre dédié au plaisir.
Même les personnages sont d'une platitude , comment s'étonner que la mayonnaise ne prenne pas.
Mark,m'a laissé de marbre et Julie j'ai trouvé quelle manquait de caractère et m'a plus donné l'impression d’être la fille capricieuse quelle prétend ne pas être. Sa manière de vouloir convaincre Mark pour le ranger à son avis est vraiment bizarre ,et pas très cohérent ni réaliste
Coucher avec lui pour prouver ses capacités et compétences et lui démontrer que cet hôtel mérite d'exister , non vraiment , trop étrange et pas convaincant
Il aurait peut être fallu d'autres ficelles pour les jeter dans les ras l'un de l'autre, pour satisfaire cette attirance datant deja bien avant cette histoire
Un roman plein de promesses que j'ai trouvé plus que bof
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