Voilà quel a été le problème : comment avancer sans dénoncer les crimes qui furent commis ? Comment poursuivre ce récit, en sachant qu’il constituera une lourde sentence contre ceux qui y sont évoqués, vivants ou morts, alors que je suis le seul responsable de son élaboration et donc tout à la fois accusé, avocat et juge dans la construction d’une affaire qui se fait au détriment de ses protagonistes ?