"J'ai utilisé le Kalapik pour te garder en sécurité quand tu étais trop petit pour aller tout seul sur le lac. Tous les parents de la ville l'ont fait, y compris les miens quand j'étais jeune. [...] Le Kalapik n'est qu'un pieux mensonge. Tellement d'enfants ont disparu sans laisser de trace au fil des ans." (p. 49)