Citations de Joel A. Sutherland (33)
Je raffolais des films fantastiques et des films d’horreur, mais je ne croyais vraiment pas aux fantômes. La vraie vie n’était pas comme ça. Les esprits n’existaient pas. La planche ouija n’était qu’un jouet. Alors un cheval fantôme ? Quelle absurdité !
- Comment tu le sais ?
- Je lis, répondit Jacob, pince-sans-rire. Tu devrais essayer.
- Hé ! Je lis, moi aussi !
- Les boîtes de céréales ne comptent pas.
- Mais on y trouve des renseignements fascinants, rétorqua Ichiro du tac au tac. Par exemple, savais-tu que les céréales de riz soufflé au chocolat contribuent à améliorer le système immunitaire des enfants ? C'est la vérité ! Selon ce qui est écrit sur la boîte.
- Tu sais qu'ils peuvent affirmer ce qu'ils veulent sur l'emballage, non ?
- Évidemment, mais ne le dis pas à ma mère.
( p 96 )
À l'étage une collection de poupée anciennes qui suscite nettement ce sentiment. Si tout est très calme et que vous vous trouvez seul, fermez les yeux et tendez l'oreille. Vous entendrez peut-être les pleurs lointains d'un enfant. En ouvrant les yeux, l'une des poupées vous fera peut-être un clin d'oeil, comme si vous étiez victime d'une sinistre plaisanterie.
Il pointa un doigt tremblant vers quelque chose derrière Jacob.
La peur devint une boule glacée dans le ventre de Jacob. Il se retourna lentement, comme dans un rêve, un rêve qu'il avait renoncé à contrôler. Il n'était pas sûr d'avoir envie de voir ce que montrait Ichiro, mais il était incapable de détourner le regard.
Ce n'était pas une ombre, cette fois, et certainement pas une tache d'eau. Le Dr Stockwell se tenait entre eux et la porte d'entrée.
Jacob savait trop bien que les horreurs de la vraie vie étaient bien plus terrifiantes qu'un grand méchant loup inventé de toutes pièces.
- Je m'inquiéterai aussi longtemps que je le voudrai, ce qui, pour information, veut dire toujours. Les mères sont comme ça.
"J'ai utilisé le Kalapik pour te garder en sécurité quand tu étais trop petit pour aller tout seul sur le lac. Tous les parents de la ville l'ont fait, y compris les miens quand j'étais jeune. [...] Le Kalapik n'est qu'un pieux mensonge. Tellement d'enfants ont disparu sans laisser de trace au fil des ans." (p. 49)
Paralysée dans son lit, la femme est incapable de cligner des paupières et se trouve forcée de regarder le vieillard placer deux pièces de monnaie sur ses yeux. Ce geste qui consiste à placer deux pièces de monnaie sur les yeux de cadavre est une vieille coutume reposant sur la croyance selon laquelle la personne défunte aura besoin de cet argent pour payer le batelier qui transportera le corps de l'autre côté du Styx, la rivière mythique des enfers.
Mais les lieux les plus effrayants du village demeurent les tunnels obscurs qui serpentent sous terre. Des gens ont entendu des voix et vu des silhouettes blafardes dans ces sordides profondeurs, comme si les fantômes des cadavres que l'ont faisit autrefois circuler sous la terre dans des chariots s'y trouvaient toujours coincés.
L'empreinte sanglante d'une main imprimée sur une porte, du sang séché agglutiné sur chaque surface d'une pièce et des insectes grouillants partout: voilè les horreurs auxquelles a été confrontée une jeune fille anonyme en quête de sensations fortes.
Selon des légendes autochtones remontant à des centaines d'années, les rougarous sont des esprits aux yeux rouges qui percent l'obscurité. D'une taille onstrueuse, ils ressemblent à un mélange d'homme et de bête, le plus souvent à un coyote.
Sois toi-même et amuse-toi.
Le ciel évoquait une couverture sombre au-dessus de sa tête. L'air était chargé d’électricité, chaud et suffocant. Mais il y avait aussi une fraîcheur insolite cette nuit là, comme une rose rouge solitaire dans un jardin mort. Il senti quelque chose frémir au fond de ses entrailles.
Il avait le sentiment - il le savait comme il connaissait son propre nom - que la vague de chaleur était sur le point de prendre fin à Valeton.
Un orage approchait.
Maman dit toujours que présenter ses excuses, c’est la super-colle de la vie... que ça peut réparer à peu près n’importe quoi.
Je raffolais des films fantastiques et des films d’horreur, mais je ne croyais vraiment pas aux fantômes. La vraie vie n’était pas comme ça. Les esprits n’existaient pas. La planche ouija n’était qu’un jouet. Alors un cheval fantôme ? Quelle absurdité !
Comme le dit si bien Jacob le personnage principale du livre "Dans cette maison rien ne se perd tout se piège".
« Elle a traversé le mur. Je savais qu'elle n'était pas réelle, mais elle semblait l'être. »
Sébastien DB
J'attends ce que j'ai toujours voulu : un public. Je veux jouer. Je veux divertir. Je veux vous faire... rire. Et si je ne réussis pas à vous faire rire, je vous ferai pleurer. Ou, mieux encore, je vous ferai mourir.
J'avais besoin de passer à la vitesse supérieure et d'être le genre de personne que j'admirais tant dans les films et les livres.
Nous sommes peut-être les voisins du Joker.