Napoléon Bonaparte, empereur des Amériques, fêta ses soixante-dix ans en 1839. Pour beaucoup, ç’aurait été le couronnement d’une carrière d’exception, d’un destin digne des plus grands : Alexandre, César ou Charlemagne. Mais Napoléon ne voulait pas être l’égal d’un de ces trois-là. Il voulait être plus, beaucoup plus, et laisser dans l’Histoire un souvenir qui éclipse le leur à jamais.