p.77 Les morts n’appartiennent à personne, mais exigent beaucoup de ceux s’autorisant à ouvrir leur cercueil (…).
Un camarade journaliste m’a prévenue : les pauvres disparaissent sans traces. Inutiles de partir enquête de livres scolaire, d’arbres généalogiques ou d’autres images. La précarité se vit en secret.