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Citation de Partemps


Une ode, sur la mort de M. Henry Purcell

Feu serviteur de sa majesté et organiste de la chapelle royale et de St. Peter's Westminster

Je

marque comment l'alouette et la linotte chantent,
avec des notes rivales,
elles tendent leurs gorges gazouillantes,
pour accueillir au printemps.
Mais à la fin de la Nuit,
Quand Philomel commence sa couche céleste,
Ils cessent leur méchanceté mutuelle,
Boire sa musique avec délice,
Et écouter et se taire, et se taire et écouter,
Et écouter et se taire obéir .

II

Ainsi cessa l'équipage rival quand Purcell arriva,
ils ne chantèrent plus, ou seulement chantèrent sa renommée.
Rendus muets, ils admirèrent tous l'homme semblable à Dieu,
L'homme semblable à Dieu,
hélas, s'est retiré trop tôt,
Comme il a commencé trop tard.
Nous ne supplions pas l'Enfer, notre Orphée pour restaurer,
S'il avait été là,
la peur de leur Souverain L'
avait renvoyé avant.
Le pouvoir de l'Harmonie, ils le savent trop bien,
Il y a longtemps que cela avait Tun'd leur sphère discordante,
Et n'a laissé aucun enfer en dessous.

III

Le choeur céleste, qui a entendu ses notes d'en haut, a
laissé tomber l'échelle de musique du ciel :
ils l'ont transmis,
et tout le chemin qu'il a enseigné, et tout le chemin qu'ils ont chanté.
Frères de la Lyre, et voix mélodieuse, Déplorez-vous de son sort,
mais réjouissez-vous à vous-même.
Maintenant, vivez en sécurité et attardez-vous sur vos jours,
Les dieux sont seuls satisfaits des Lays de Purcell,
Ni ne savent réparer leur choix.
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