Pour ceux qui devaient travailler afin de gagner leur vie, il n’y avait pas grand problème : après une journée de travail de douze heures, la question de savoir ce que vous allez faire après souper est assez facile à résoudre. Mais que ces malheureux riches étaient donc à plaindre : car même s’ils pouvaient obtenir la liberté d’être seuls avant la nuit tombée, la convention sociale exigeait ensuite qu’ils s’ennuient de compagnie.