John Gay

L'opéra du gueux

Théâtre de tréteaux de John Gay

Compagnie des Passeurs (Paris, 75)
Mise en scène : Pascal Durozier

"Opera du Gueux" Rencontre avec Pascal Durozier(metteur en scene)

La vie est une plaisanterie, tout le démontre, je m'en doutais, maintenant, j'en suis sûr. » J.Gay

L'action se déroule au début du XVIIIe siècle, dans le milieu de la pègre du quartier de Soho à Londres. Macheath, à la tête des Gueux, épouse la tendre Polly, contre la volonté de son père, le receleur Peachum. Celui-ci entreprend alors, avec l'aide de Lockit, chef corrompu de la police, de faire arrêter le brigand...

Dans un Londres du début du XVIIIème siècle, John Gay, à travers son Opéra du Gueux, peint un tableau brut et sarcastique des bas fonds de la société. Prostituées, mendiants, voleurs s'expriment dans un langage cru et sans détour. C'est ce discours critique qui a saisi les passeurs. La satire du pouvoir économique, corrupteur de l'organisation de la société, résonne en ce début de XXIème siècle de façon étonnante et inquiétante.

The Beggar's Opera
(L'opéra du gueux)

Benjamin Britten
Adaptation de Benjamin Prins
D'après le livret de John Gay

Nouvelle coproduction Opéra Junior / Opéra et Orchestre National de Montpellier Languedoc-Rcoussillon

THE BEGGAR'S OPERA (4) - L'opéra des gueux de J. Gay. Kojoukharov / Bacry par l'OPÉRA JUNIOR

THE BEGGAR'S OPERA (2) - L'opéra des gueux de J. Gay. Kojoukharov / Bacry / OPÉRA JUNIOR

L'OPÉRA DES GUEUX
Livret de Y. Bacry, adapté de J. Gay - Musique de V. Kojoukharov
Mise en scène: Yaël Bacry - Scénographie: Gérard Didier - Lumières: Stéphanie Daniel - Opéra de Montpellier 1998
Avec: Julien Candi, Valentine Carette, Hervé Vaysse, Anaïs Pélaquier, Sabine Bergua, Marie André, Pauline Touma, Alix Bergeault Gegoue, Marie-nadège Barthazon, Mathilde Fonvillars, Elsa Pélaquier...

En 1728, John Gay écrivait une pièce de théâtre entrecoupée de chansons populaires et d’airs savants, le premier ballad opera. Près de 300 ans plus tard, Robert Carsen et William Christie revisitent ce conte satirique pour en faire "un brillant tour de force entre baroque et modernité" (Libération).