Nous sommes absurdes et d’une absurdité sans excuse quand nous parlons de « la supériorité » d’un sexe sur l’autre, comme s’ils pouvaient être comparés en des choses similaires. Chacun possède ce que l’autre n’a pas ; chacun complète l’autre et est complété par lui ; en rien ils ne sont semblables, et le bonheur et la perfection de chacun a pour condition que l’un réclame et reçoive de l’autre ce que seul il peut lui donner.