Il me surprend en pleine lecture. Son expression n’a rien de gentil. Dieu n’existe pas. Pas plus que les droits de l’homme. Tu n’as rien enfreint. Chaque fois qu’un organisme choisit de vivre, un autre est condamné à mort. La vie, c’est aussi simple que ça. Les forts le savent, au plus profond d’eux-mêmes. Mais nous devons renouer avec une époque bien antérieure aux prophètes juifs et aux croix chrétiennes, lorsque les idées d’égalité, de bien et de mal étaient considérées comme les idioties qu’elles n’ont jamais cessé d’être.