Nous ne formions pas une communauté mais une floraison, une éruption de foi parsemant les étendues arides d’Egypte et de Syrie. Le désert était un miroir où nous cherchions la face de Dieu. Les plus fous empruntèrent des chemins qui n’existaient pas, certains réussirent même à ne pas s’y perdre tout à fait. Bien d’autres leurs succèdent aujourd’hui.