- Les lycéens ne sont pas toujours vigilants. Leurs parents non plus. Malgré les avertissements répétés, personne ne croit réellement qu'un comportement virtuel peut avoir un impact violent sur le quotidien. Surtout quand on peut agir sous couvert d'anonymat, car dans ce cas, chacun se sent protégé et invincible. Si on ajoute à ça l'anxiété de l'adolescence - le désir à cet âge charnière d'être aimé, admiré ou heureux - on tient là le groupe idéal pour obtenir n'importe quelle information en échange d'une récompense.