Citations de Jon Marcello (13)
Un parachutiste expérimenté peut sauter à 150 nœuds (env. 275 km/h). (Je ne sais pas vous, mais les renvois en bas de page, ou pire en fin de livre, m’ont toujours ennuyé. Alors, pour une fois je peux les voir où je veux… bise) Retour à l’action…
Un parachutiste expérimenté peut sauter à 150 nœuds (env. 275 km/h). (Je ne sais pas vous, mais les renvois en bas de page, ou pire en fin de livre, m’ont toujours ennuyé. Alors, pour une fois je peux les voir où je veux… bise) Retour à l’action…
De tout temps, les journalistes savaient faire beaucoup avec rien et à renfort de titres ronflants vendre du vent.
Préfère les regards qui se tournent vers toi à ceux qui se détournent.
[…] une forte érection gênait ses mouvements. Jamais de caleçon pour dormir et contenir ce qu’il appelait la fierté de sa journée. Dormir nu était une habitude qu’il avait conservée. Il appréciait, au petit matin, sentir sa puissance de mâle s’épanouir.
Dans quelle société vivons-nous ? pensa Silver. Une civilisation qui ne soigne que les riches, les pauvres ont seulement le droit de souffrir et de mourir en silence. La sélection naturelle est toujours en marche.
Une intelligence supérieure, sans maîtrise des émotions, est comme un parapluie replié, au mieux il peut servir de canne, mais ne protégera pas des intempéries.
Quand il ne s’épuisera pas devant une trentaine de gamins, qui confondaient Stephen Hawking et Stephen King, il s’immergera, comme un rabbin dans son Talmud, dans les documents à la bibliothèque.
Dans quelle société vivons-nous ? pensa Silver. Une civilisation qui ne soigne que les riches, les pauvres ont seulement le droit de souffrir et de mourir en silence. La sélection naturelle est toujours en marche.
Une recette qui soulageait déjà des malades et engraissait jusqu’à l’obésité morbide les actionnaires du laboratoire pharmaceutique qui l’avait mise au point.
Il l’avait choisi pour sa sonnerie impitoyable : une espèce de couinement, résultat très probable des amours de Maria Callas, d’Adolf Hitler et d’un chat en soins palliatifs.
Il aimait le concept de cette première érection sans but ni objet, juste le corps qui check, comme une voiture allume ses voyants pour dire que tout fonctionne. Si l’évolution avait gardé cette érection matinale, pensa-t-il, c’est qu’elle avait dû jouer un rôle important dans la perpétuation du nuisible, l’homme.
[...] une forte érection gênait ses mouvements. Jamais de caleçon pour dormir et contenir ce qu’il appelait la fierté de sa journée. Dormir nu était une habitude qu’il avait conservée. Il appréciait, au petit matin, sentir sa puissance de mâle s’épanouir.