L’alcool, en général, faisait très bien l’affaire, même si elle savait que c’était un ami dangereux. Mais c’était quand elle était ici, chez elle, et non sur le terrain, que ses blessures tendaient à se rouvrir. Malgré tous ses défauts, et ils étaient nombreux, l’alcool l’aidait à contenir la douleur, à empêcher les émotions de déborder.