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Citations de Jon Osborne (13)


Le fou qui, jusqu’alors, avait tué quatre petites filles dans la ville avait encore frappé.
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Elle pinça des doigts la cheville de la fillette et fronça les sourcils. La rigidité cadavérique s’était complètement installée, ce qui faisait remonter la mort à une douzaine d’heures. Dana baissa les yeux sur sa montre. Ce matin, la gamine aurait dû être à l’école, et pas morte baignant dans son sang. Certes, l’école n’était pas la priorité numéro un dans ce quartier. Quand même… pourquoi la mère ne l’avait-elle pas trouvée plus tôt ? Et pourquoi l’enfant avait-elle été laissée sans surveillance ? Elle n’avait que huit ans, bon sang ! Elle était bien trop jeune pour se débrouiller seule.
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Ils se trouvaient à Cleveland, au septième étage d’une résidence modeste de l’East Side, le quartier au plus fort taux de criminalité d’une ville qui, par malchance, venait d’être nommée deuxième zone métropolitaine la plus pauvre du pays. L’an passé, elle avait été numéro un, mais, cette année, c’était Detroit qui avait remporté la couronne en alu.
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L’alcool, en général, faisait très bien l’affaire, même si elle savait que c’était un ami dangereux. Mais c’était quand elle était ici, chez elle, et non sur le terrain, que ses blessures tendaient à se rouvrir. Malgré tous ses défauts, et ils étaient nombreux, l’alcool l’aidait à contenir la douleur, à empêcher les émotions de déborder.
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Les tueurs tuaient : c’était ce qu’ils faisaient. C’était leur boulot, putain ! Les bons ne se faisaient jamais prendre. Et les meilleurs, on en parlait toujours des siècles après leur mort. Mais la palme ne pouvait être remportée que par un seul champion – le lion dominant de cette drôle de meute –, et c’était un titre que Nathan avait bien l’intention de revendiquer.
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Si on voulait être le meilleur, on devait commencer par ravaler sa fierté et étudier le métier.
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Les tueurs tuaient : c’était ce qu’ils faisaient. C’était leur boulot, putain ! Les bons ne se faisaient jamais prendre. Et les meilleurs, on en parlait toujours des siècles après leur mort.
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Elle pesta intérieurement, écœurée. Cela faisait trois mois qu’ils poursuivaient le Tailladeur de Cleveland, mais ils n’avaient toujours pas trouvé le moindre indice, ce qui était très rare dans les affaires de tueurs en série. D’habitude, ces types se préoccupaient tellement de l’érection qui pointait sous leur pantalon qu’ils laissaient largement assez de preuves pour trahir leur identité. Mais ce n’était pas le cas ici. Pas avec ce gars-là. Il était différent. Ce n’était pas une compulsion à dominer sexuellement les plus faibles qui le poussait à tuer.
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C’était une très belle femme au début de la quarantaine, mais assez intelligente pour ne pas se soucier énormément de son apparence. Elle avait de grosses lunettes, trop grandes pour ses traits délicats, et de longs cheveux qui cascadaient sur sa blouse en s’entortillant dans le stéthoscope autour de son cou.
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Il n’y aurait pas de communiqué de presse dans deux heures, bien sûr, mais parfois on devait jeter un peu de viande aux loups pour détourner leur attention. Sa réponse les calmerait pour ce soir et, surtout, lui permettrait de gagner du temps. La plupart des journalistes se contenteraient sans doute de cette promesse en l’air et, avec un peu de chance, l’oublieraient peut-être même demain en traquant le nouveau sujet du moment.
On pouvait toujours espérer.
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Une rose nommée truc ou tartempion ne sentirait-elle pas aussi bon ?
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La frontière est très mince entre l’amour et la haine.
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Pierres et bâtons me brisent les os, mais les injures glissent sur ma peau.
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