Je ne parle pas d'argent. [...] Je parle des bonnes intentions de ces gens. Parce que, croyez moi, personne n'en est plus pétri que dans l'industrie chimique. D'accord, ils sont riches comme Crésus, mais ce n'est pas pour ça qu'il sont dans ce secteur. Il y sont pour servir la société. Ils rendent le monde plus agréable à vivre. Ils font toutes ces petites choses pratiques que la nature ne sait pas faire toute seule. C'est quoi, quatre millions de litres de déchets toxiques deversés annuellement, comparé au confort de ne jamais trouver un ver de terre dans sa laitue ? Voilà de quoi je parle. Voilà pourquoi j'attends le grand séisme, juste pour voir toute cette merde leur revenir dans la gueule.