Les histoires que les livres racontent restent ouvertes et exposées à l'action de la mémoire, de l'imagination, du temps.D'une certaine façon, il en est de même pour les voyages et les grands amours.
La dernière page des récits ne génère, comme les ports où l'on arrive et les ruptures définitives, qu'une illusion d'achèvement. En réalité, c'est au point final d'un voyage, d'un amour, d'un livre que commence le récit, le souvenir, la relecture.