Le jeune homme n'avait aucun ami, pas même la moindre relation vaguement familière avec quiconque. ll se gardait de tout échange comme on se protège d'une maladie. Sa solitude était devenue une sorte de forteresse qu'il défendait corps et âme contre toute tentative d'intrusion affective. Il avait fait le choix de la paix aux dépens de la joie.