La nuit, nous ne rêvons pas à des sirènes au sexe incertain mais à la caresse éternelle, infatigable, de la matière cachée dans le liquide.
Quand le soleil de midi sèche les voiles mouillées par la brise ou la tempête, une poudre blanche les recouvre, qu'on retrouve dans nos cheveux, entre nos doigts, qui s'immisce avec le brouillard salé de la mer nocturne.