Je suis toujours ému par les bibliothèques. Toute cette jeunesse bigarrée qui lit tranquillement, fait ses devoirs faute de place à la maison, se balade sur Internet, dévore les bandes dessinées, se concentre et se disperse, s'entre-aide et se dissipe. Un lieu beau et nécessaire comme il y en a peu. (p. 23)
Martine ? L'héroïne enfantine ? Martine, celle qui va à l'école, à la mer, à la foire, à la maison, mais jamais à la bibliothèque, pas même en parodie. (p. 41)