Peut-être lui aurait-il confié que le mot patrie - autre mot impossible à prononcer ailleurs - aurait dû avoir un autre son que celui du danger, le service de la patrie signifier, même pour un soldat, autre chose que l’acceptation du sacrifice. Et que le mérite de l'officier ne se mesurait pas au combat, mais au dévouement des journées, à l'accomplissement des tâches ordinaires.