Les plus pauvres nous le disent souvent : ce n'est pas d'avoir faim, de ne pas savoir lire, ce n'est même pas d'être sans travail qui est le pire malheur de l'homme. Le pire des malheurs est de vous savoir comptés pour nuls, au point ou même vos souffrances sont ignorées. Le pire est le mépris de vos concitoyens. (p.49)