Il n’existe pas aujourd’hui de consensus pour expliquer le désastre assyrien. Toutefois, les explications modernes sont préfigurées par une réflexion de D. Burckhardt à la fin du XIXe siècle : En histoire, la fin est toujours préparée par une décadence interne, par un déclin de la manière de vivre. Un choc extérieur est alors suffisant pour mettre fin à tout.