On nous avait également prévenus que son comportement serait de plus en plus difficile à maîtriser, que lorsqu'il atteindrait la puberté, il faudrait le placer dans une institution et que nous allions regretter qu'il ne soit pas plutôt aveugle, sourd ou débile mental car, dans ce cas, nous aurions pu trouver assistance. Avec l'autisme, il n'y a rien à faire. L'autisme, nous assurait-on, est un mal sans espoir.