La vie à bord était très régulière, très simple et – ce qui est acceptable en mer – d'une monotonie non dépourvue de charme. La navigation, c'est le repos dans le mouvement, le bercement dans le rêve, et je ne me plaignais pas de mon isolement.
[Jules VERNE, "Le Sphinx des glaces", 1897, chapitre IV : "Des îles Kerguelen à l'île du Prince-Edouard" – édition illustrée Le Livre de Poche, page 52]