Vieux bourrin, vieux bourrin, que fais-tu donc ici
Toi qui as si longtemps trimballé mon fourbi ?
Et voilà qu’épuisé, rétamé jusqu’aux os
Tu finis au saloir, souper pour matelots
Les voilà qui te lancent des regards étonnés,
Ils prennent des drôles d’airs tristement dégoûtés
Puis ils mangent ta viande, te voilà liquidé
Et le reste ira faire son trou dans la salée.