- [...] Mes chants pourraient te contraindre à m’offrir ce baiser.
[...]
- Peut-être bien, mais que vaut un baiser s’il n’est pas offert avec amour ?
[...]
- Je n’en connais pas la différence, avoue-t-elle.
[...]
- Quel est votre nom ?
- Pourquoi ?
- Pour que je puisse me souvenir de votre générosité et vous remercier du cadeau que vous m’accordez.
- Un cadeau ? Ce n’est pas un cadeau, tu le dis toi-même, les hommes de Morval arrivent.
- Vous m’avez offert de garder mon libre arbitre, vous ne m’avez pas contraint à être vôtre. Je mourrai libre d’avoir su rester fidèle à mon cœur. Votre âme est bonne et je vous souhaite d’être aimée d’un amour profond et pur, pour que vous puissiez ressentir la différence inestimable.