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4.15/5 (sur 228 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Julie Perry est auteure de romance contemporaine.

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Citations et extraits (83) Voir plus Ajouter une citation
Certes, je me comportais comme un enfoiré, mais un enfoiré honnête. Je baisais tout un tas de filles, mais elles savaient où elles mettaient les pieds. Un coup, peut-être deux, et c’était fini. Qu’y avait-il de compliqué à comprendre ?
Pourtant, chaque fois, c’était le même refrain. La nana s’imaginait qu’elle était exceptionnelle, spéciale, celle qui allait me changer et obtenir un vrai rencard, avec resto, ciné ou n’importe quel autre truc débile à faire en couple.
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Chacun vit ses propres malheurs et déceptions. Chacun a le droit d'éprouver de la tristesse ou du chagrin sans se demander si d'autres vivent pire qu'eux. Bien sûr qu'il faut le garder en tête, mais cela ne rend pas moins réelle ta souffrance. Elle est là, tu la ressens, personne n'a à te juger.
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"- Tu n'as pas envie que je parte et tu le sais très bien.

- Tu te donnes trop d'importance. La porte est juste là, dis-je en l'indiquant du doigt.

Il m'observa un moment.

- Pas croyable, murmura-t-il.

Je fronçai les sourcils.

- Quoi encore ?

- Tu as peur, Starlight. Tu as peur de ce qui peut arriver dans cette chambre, là, tout de suite. Pourtant, tu sais que c'est écrit depuis le début. Je t'ai fait une promesse, non ?"
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Je savais que je n’aurais pas dû. Je savais qu’il était nuisible pour moi. Mais c’était plus fort que moi, j’étais irrésistiblement attirée, comme par un aimant.

J’avais essayé de m’éloigner, on ne pouvait pas me le reprocher, n’est-ce pas ? Sans ce foutu professeur Murray, j’aurais réussi. Enfin, peut-être.

Même si mon cœur qui tambourinait chaque fois que je le croisais me disait le contraire.

Bref, je n’avais pas eu le choix. Et je m’étais laissé prendre au jeu. Comme la crétine que j’étais. Et maintenant il me jetait comme une vieille chaussette.

Ce midi, j’avais attendu trois quarts d’heure devant la cafèt’. Rien. Pas un SMS. Pas un appel, pas un message.

J’avais bien aperçu Mike et Raf, mais plutôt mourir que de leur demander quoi que ce soit, je n’étais pas descendue si bas.

Ma respiration déjà difficile ne s’améliora pas avec la vapeur d’eau qui s’accumulait et m’obstruait la vue, j’avais l’impression de me trouver en pleine campagne anglaise un mois de novembre.

Bien que je n’en aie pas envie, il était temps de sortir si je ne voulais croisais me disait le contraire.
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Je me rappelai les sensations provoquées par ses baisers dans le cagibi et, malgré moi, un gémissement étranglé m’échappa.

Sa bouche s’écrasa brutalement sur la mienne. J’eus l’impression de pouvoir enfin respirer. Il était mon oxygène, ma source d’énergie, et j’allai y puiser tout ce dont j’avais besoin. Notre baiser fut sauvage, éperdu, désespéré, à l’image de nos âmes qui s’accueillaient l’une l’autre. Car, au-delà des sensations physiques et de la chaleur dévorante qui se propagea au creux de mon ventre, c’est bien de cela qu’il s’agissait : l’union de deux êtres qui se reconnaissaient en l’autre, de deux êtres qui souffraient et ne trouvaient pas leur place dans le monde tel qu’il fonctionnait.
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L’éclat de ses yeux dans la pénombre était encore plus impressionnant. Deux lames effilées qui vous percutaient et s’insinuaient en vous en ravageant tout sur son passage.
Mon pouls s’emballa, mes jambes flageolaient et ma respiration devint hachée. Pas de doute, j’étais dans une situation critique. Confuse, je battis des cils et tentai de me ressaisir quand il repoussa une mèche de cheveux sur mon visage et caressa celui-ci de l’index. Une décharge électrique parcourut mon corps, et je frissonnai jusqu’à la pointe des pieds.
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Je me sentais comme après une dure journée à l'hôpital , quand j'essayais de sauver des vies. Ou d'y contribuer tout du moins. Essorée, mais heureuse d'avoir donner de ma personne.
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— Non, Chris, franchement, je ne vois pas ce qu’il y a de plaisant là-dedans. Tu es peut‑être confinée, mais chez toi, dans une maison de 250 mètres carrés avec un jardin d’un hectare.

Ma meilleure amie souffla au bout du fil.

— Tes conditions de détention ne m’ont pas l’air rebutantes, Eli. Un loft face à la tour Eiffel, franchement ?

— Oui, mais ce n’est pas chez moi.

— Et alors ? objecta-t‑elle. Tu aurais préféré être coincée dans tes 30 mètres carrés ?

Aïe. Un point pour Chris. Mais je ne voulus pas céder.

— Peut‑être bien que oui. D’autant que je le connais à peine finalement. Ce n’est pas parce que nous échangeons depuis trois mois que je suis prête à vivre avec lui.

— On ne te demande pas de lui faire un môme, juste de profiter de son cadre de vie exceptionnel dans une situation non moins exceptionnelle. Et de son petit cul exceptionnel, ajouta-t‑elle, espiègle. Au moins, tu vas pouvoir t’éclater, tandis que moi, une fois les piles de mon vibro mortes, je serai foutue. Ah ah, tu souris, triompha-t‑elle. Je savais que j’y arriverais.

Effectivement, mes lèvres s’étaient étirées toutes seules. Elle avait vu juste, sa repartie et son humour avaient fait son office. Mes épaules se relâchèrent un peu.
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Le philosophie stoïcienne que j'avais toujours appliquée me semblait providentielle: pas d'attachement à quoi ou à qui que ce soit, mon bonheur ne dépendait que de moi.
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Après toutes ces années, nous étions toujours fous l’un de l’autre, et rien ne pourrait jamais changer cela. Jace et moi étions des âmes sœurs, au sens mythique du terme.
Tandis que, les yeux brillants, je le regardais se débarrasser de ses vêtements coûteux comme s’il s’agissait d’une tenue de plage, je repensai à ce jour qui avait bouleversé nos vies.
Ce moment intense à l’aéroport, où nous avions baissé notre garde pour ne plus jamais la remonter.
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