Rompant avec le patriotisme de nombreux communards, Nostag se prononce au cours du mouvement pour un véritable internationalisme :
« Les patries ne sont plus que des mots […]. Naître ici ou là, seul fait du hasard, des circonstances, change notre nationalité, nous fait amis ou ennemis ; répudions cette loterie stupide […]. Que la patrie ne soit plus qu’un vain mot – une classification administrative sans valeur ; – notre pays est partout, où l’on vit libre, où l’on travaille. Peuples, travailleurs, la lumière se fait ; que notre aveuglement cesse, sus aux despotes, plus de tyrans. La France est morte, vive l’humanité ! »