Julien Flamand

Nous sommes en 1950. Christian n’a que cinq ans lorsqu’il est envoyé dans le Morvan chez son grand-oncle Marius et sa grand-tante Marie-Louise. Si tout lui fait peur au départ, l’amour des deux adorables petits vieux va lui faire apprécier ses vacances à la campagne jusqu’à ses dix ans. Pépé Marius meurt et mémé Louise est mise en maison de retraite. Ce sera désormais Odette, leur fille, et son mari Marcel qui accueilleront Christian et son petit frère Patrick. Mais l’ambiance sera-t-elle la même ?



Quel doux retour en enfance, du moins dans la première partie de cet album. J’avais envie d’être avec le petit Christian, de refaire ce retour aux sources. La deuxième partie montre un changement, la nouvelle génération n’ayant pas forcément su faire passer l’amour de la campagne. Mais comme tout a une explication, vous la découvrirez à la fin, de même qu’un petit dossier « pêle-mêle » évoquant les souvenirs racontés.


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Un grand bol de nostalgie :

C’est une jolie petite histoire chargée de Nostalgie, un retour dans le passé, les vacances d’été passé par Christian (le scénariste et père de l’illustrateur) chez ses grands parents dans le Morvan, c’est un retour sur le monde rural des années 60, pas d’eau courante, une vie sommaire, simple et rude. C’est presque plus un témoignage qu’une histoire en soi, mais la nostalgie est bien présente. Le récit est divisé en deux parties, 1960, Christian a 5 ans, c’est la découverte de la campagne, c’est plein de tendresse et d’émotion, puis c’est 1965, Christian a un petit frère, le grand-père et mort, c’est la tante Odette et son mari qui ont repris la maison et qui accueillent les enfants, le récit est plus dur, fini la tendresse, mais l’expérience reste marquante pour Christian.

Le graphisme est simple, efficace, en accord avec le ton, par contre je suis beaucoup moins convaincu (c'est un euphémisme) par la colorisation très artificielle, réalisée en technique numérique et ça se voit, pour traiter du monde rural, ça ne colle pas trop, dommage.

Dans l’ensemble, j’ai été agréablement surpris par la nostalgie qui s’en dégageait, sans fioritures ni pathos, c’est le point fort de cette bande dessinée, en été 1965 je n’étais qu’un bébé, mais j’y ai retrouvé quelques aspects de mes jeunes années, même si je n’ai pas de souvenirs de maisons sans eau courante. Pour comparer (je sais qu’il y en a qui n’aiment pas ça, mais tant pis), on retrouve le thème des vacances d’été comme dans “Les beaux étés”, mais ici, il n’y a pas de traits forcés sur les caractères des enfants, moins d’effets scénaristiques artificiels et l’émotion, plus naturelle, passe du coup beaucoup mieux.

Personnellement, j'ai trouvé cet album très très drôle, et en même temps, en toile de fond, il y a un beau message.

C'est l'histoire d'une sacrée licorne, Viviane, extravertie et tout en paillettes. Amoureuse de la nature, elle est prête à tout pour la protéger et la sauver, même à se frotter à un impersionnant dragon.

L'histoire est très belle, drôle, coquasse, bien écrit et fait passer de belles valeurs (respect, entraide, amitié).

Et puis ces illustrations, de toutes beauté, avec ces couleurs, ces paillettes. Finalement à l'image de cette facétieuse licorne.

D'ailleurs elle est en passe de devenir le personnage préféré de ma fille.



Merci à @babelio et aux éditions Splash pour cet envoi.

Livre reçu dans le cadre de la masse critique jeunesse.

J'ai lu ce livre avant de le donner à mes nièces de 8.5 ans et 5 ans.

J'ai trouvé les illustrations très sympa et j'ai beaucoup aimé le message écologique qui est passé.

Emma 8 ans et 1/2 a bien aimé le livre mais a trouvé que la licorne parlait bizarrement et que les dessins étaient chouettes.

Lily 5 ans a beaucoup aimé le livre aussi mais il faut dire qu'elle adore les paillettes et les licornes.

Bon maintenant elles veulent les autres tomes car Emma les a vu sur internet .

J'ai eu l'opportunité de pouvoir découvrir cette petite histoire jeunesse que j'ai pris plaisir à lire seul dans un premier temps puis avec ma fille de 4 ans avant le dodo du soir.



Si on regarde déjà le livre sans l'ouvrir on vois de très belle couverture rigide avec des paillette scintillante sur la licorne, rien que visuellement le livre attire beaucoup et a attiré l'œil de ma fille rien qu'en voyant le joli licorne.



Pour ce qui est des dessins il sont très soigné, très coloré et surtout très parlant même sans le texte un enfants peut suivre l'histoire et se crée ses propre texte, j'ai apprécié la beauté des illustration au fils des pages.



Pour ce qui est de l'histoire celle ci est très simple, le langage adapté même pour les plus jeune avec un fils conducteur basique et simpliste pour être vraiment adapté au jeune publique. Il y a juste assez de texte pour rendre l'histoire complète sans être trop longue



Mon point de vue j'ai adoré la petit histoire pailletante de cette licorne et sa rencontre, ma fille aussi a été séduite et a même rigolé.

C'est une belle histoire pour les petit ou grand enfants que j'ai vraiment ris plaisir a lire

Quand je serais grand retrace l'enfance de l'auteur dans les années 60. Kiki est un petit garçon rêveur qui veut devenir dessinateur de BD. Il nous partage ses souvenirs d'enfance : à l'école, avec son petit frère, au cinéma/TV, à la catéchèse, avec ses copains ...

C'est un album nostalgique et plein de tendresse que l'on retrouve dans le dessin tout en rondeur.

Un album pour tout public.