Orsenna transmigrait, se vaporisait dans cette poussière d'étoiles où Fabrizio lisait notre chemin. Elles brillaient inépuisables et égales. Pour une nouvelle nuit après tant de nuits, Orsenna se vautrait au lit de ses astres, se dissolvait à l'aise dans la figure de ses étoiles, confiée tout entière comme une planète morte à l'intimité et à l'inertie sidérale.