"L'acte ne naît et n'est jamais né que de la passion. Le calcul, l'équilibre, la prudence ont toujours été distants, objectifs et paralysants. Les pensées sont un poison, une entrave pour l'élan, un obstacle pour la décision. On ne peut passer aux actes sans une résolution fanatique, une ardeur bestiale, un minimum d'inconscience. Si l'on réfléchit longtemps, on se rend compte qu'on ne peut rien faire, qu'il n'y a rien à faire, que tous les actes sont honteux." (SD., octobre 1935.)
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