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Critiques de Jun Nie (59)
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Aweto, tome 1 : La chasse est ouverte

J'avais bien aimé "les contes de la ruelle" de Jun Nie, une B.D pleine de tendresse et de poésie sans jamais être mièvre. Même si je n'avais pas été entièrement convaincue par le design des personnages, les illustrations de jun Nie m'avaient charmée par leur délicatesse et leurs jolies couleurs. Lorsque je suis tombée sur ce "Aweto" du même auteur, j'ai eu envie de le lire. Le bilan est mitigé.



Ce 1er tome fourmille de bonnes idées. Le monde créé par l'auteur est riche. Encore une fois, on trouve beaucoup d'éléments poétiques très plaisants. Le dessin est très réussi, même les personnages m'ont convaincue cette fois. Malheureusement l'aspect narratif n'est pas à la hauteur. J'ai trouvé le récit mal mené, parfois confus, le rythme peu maîtrisé. Il m'a manqué un je ne sais quoi pour me donner envie de poursuivre cette série. Dommage !
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Aweto, tome 1 : La chasse est ouverte

Un beau compte sur des chasseurs de divinités servi par un dessin doux et coloré qui nous transporte immediatement dans ce monde de rêverie.

Les chasseurs d'Aweto sont mythiques et sont eux même à la recherche du mytique Aweto céleste. C'est la quête de deux d'entre eux, orphelins lancés sur les routes, qu'on découvre dans ce premier tome qui en appelle un autre, bien que mollement.
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Aweto, tome 1 : La chasse est ouverte

Gros coup de cœur pour cette bande dessinée. Je me suis régalée et j'adore le petit chadolo. Ce livre se lit comme une légende poetico-ecolo. Certes l'histoire reste très aérienne mais je trouve cela agréable, ne pas avoir trop de détails pour laisser les sens agir. En tout cas c'est comme cela que ça a fonctionné pour moi. J'ai le 2 qui m'attend, hâte !!!
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Aweto, tome 1 : La chasse est ouverte

Reconnaissant les traits de l'auteur des contes de la ruelle, je me suis laissée tenter par ses traits toujours féeriques. L'aweto est amenée comme une légende chinoise dont tous les puissants veulent acquérir. L'aquarelle et le monde créé sont vraiment sortis de l'imagination de l'auteur et nous montrent une pallette de créativité incroyable. Je suis toujours autant charmée par ses illustrations. L'histoire en elle-même est intéressante mais manque de clarté. Beaucoup d'idées ne sont pas suffisamment bien orchestrées pour en faire une bonne ligne à suivre. Je poursuivrais car j'aime beaucoup son univers.
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Aweto, tome 1 : La chasse est ouverte

Fable écolo et poétique, Aweto démarre avec un premier tome envoûtant, accessible aux enfants malgré la dureté de certains passages. [...] Car c’est bien là le thème de cette saga : la destruction des ressources naturelles par les hommes, pour leur profit immédiat, sans songer à l’avenir.
Lien : http://www.bodoi.info/aweto-1/
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Aweto, tome 1 : La chasse est ouverte

De jolies images et couleurs...proches d'un album.

Mais l'histoire est assez décousue...comme si des morceaux avaient étaient coupés au montage....

Et les dialogues sont assez insipides, caricaturaux parfois...peut-être la traduction ?

Bref, je n'ai rien compris...
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Aweto, tome 1 : La chasse est ouverte

Premier volume d’une pentalogie annoncée, La chasse est ouverte est une invitation au voyage, une aventure féerique emprunte de poésie et de magie. Les illustrations de Nie Jun sont lumineuses de couleurs aquarelles et nous transportent dans un univers peuplé de créatures légendaires et mythiques. Si l’histoire reste assez sommaire et n’attend qu’à être développée dans les prochains volumes, j’ai été complètement séduite par les illustrations des paysages colorés qui, tout en étant symbolisés par des êtres fictifs, nous transportent littéralement dans les montagnes multicolores de Danxia.

Fable écologique, récit d’aventure, Aweto amène une réflexion sur l’action de l’homme sur la nature, les effets de son exploitation avec notamment l’expansion du Désert de Gobi.
Lien : https://sirthisandladythat.w..
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Aweto, tome 2 : La traversée des steppes

L'auteur remarqué des Contes de la ruelle nous entraîne dans un conte mythologique au graphisme féerique, tout en légèreté et aux couleurs subtiles, qui rend hommage à l'art de son pays et transporte le lecteur dans un monde enchanteur.
Lien : https://cnlj.bnf.fr/fr/conte..
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Diu Diu, tome 1 : La formule magique

Cette série fait partie d’une longue liste de mangas achetés lors de mes pérégrinations à différentes Japan Expo et qui prennent depuis la poussière sur mes étagères.

J’ai donc ouvert le premier tome avec beaucoup d’interrogations et le moins qu’on puisse dire c’est que je suis sortie de ma lecture avec tout autant d’interrogations sur ce que je venais de découvrir.



Pourtant, le scénario, s’il n’est pas renversant, est assez sympathique.

Les personnages d’une bande dessinée ont trouvé moyen de s’échapper des pages et l’auteur demande à Diu Diu de partir à leur recherche.

Sur le papier il y a de quoi faire une petite histoire amusante, d’autant plus quand une entité malfaisante se libère de l’enfer des toons dans lequel elle était enfermée et sème la pagaille sur la planète.



Malheureusement, je n’ai accroché à quasiment rien.

Les personnages n’ont aucun but à part répandre la panique en ville, je me suis embrouillée dans leurs noms très rapidement (pas aidée par le fait que l’un d’entre eux s’appelle quand même L’Esprit-de-rancune-boute-en-train et un autre Petit-fruit-pas-mûr), le langage est très confus et la trame assez inexistante.



J’ai l’impression d’être passée complètement à côté du sujet, si tant est qu’il y ait eu un sujet d’ailleurs.

Je reconnais tout de même que les personnages sont joliment présentés et que dans leur style très particulier, ils sont plutôt réussis, mais c’est bien la seule chose que je sauverais de ce premier tome.
Lien : https://yodabor.wordpress.co..
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Les contes de la ruelle

Dans un quartier paisible du vieux Pékin vivent Dubao et Yu’er, une petite fille infirme qu’il a adoptée. Le vieil homme, affectueux et tout en rondeurs, déborde d’amour et d’imagination, cherchant en permanence à illuminer la vie de la fillette. Quatre récits composent l’album. Dans le premier, alors que Yu’er se rêve en championne paralympique de natation, son grand-père lui invente un ingénieux système d’entraînement à la fois sans eau et « dans les airs ». Dans les autres, il est question d’insectes musiciens, d’apprentissage du dessin ou encore d’une lettre à l’absente.



Qu’il est bon de se plonger dans cet univers aux accents parfois féériques où se conjuguent tendresse et optimisme. es récits sont rythmés par de fréquentes incursions dans un registre merveilleux et onirique empreint d’une bonne dose de poésie. Dans cette ruelle aux vieilles maisons et aux cours ombragées où l’on prend le temps de faire la sieste, où on circule à vélo et où on explore des terrains vagues aux décors champêtres, l’ambiance est paisible, les rapports humains chaleureux. Ça pourrait vite tourner au cucul mais ce n’est jamais le cas, en grande partie grâce à la malice, la bonne humeur et la joie de vivre pétillante des différents personnages.



Le dessin à l’aquarelle de Nie Jun, mélangeant les influences asiatiques et européennes est sensible et lumineux. Son découplage simple et efficace, privilégiant les grandes cases, invite le regard à s’attarder sur les moindres détails.



Entre rêve et réalité, ces Contes de la ruelle proposent une échappée tout en douceur et en délicatesse, idéale pour s’évader quelques instants du quotidien et d’une actualité pour le moins sordide.


Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Les contes de la ruelle

L’objet livre lui-même est beau, couverture cartonnée/dure, de belles pages de qualité à l’intérieur, et plein de belles couleurs pastels, douces.

Il est divisé en plein de petits chapitres qui montre la vie de tous les jours avec une petite dimension fantastique.

C’est un très beau voyage en Chine, un livre qui enivre, qui fait du bien, on se délecte, on profite des couleurs, du soleil. Un brin poétique, onirique, on est emporté ailleurs, on rêve.

Quelque part, cela va bien avec le printemps aussi 😉
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..
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Les contes de la ruelle

Les rêveries, poésie et bons sentiments de ces quatres nouvelles nous laissent mieux entrevoir le quotidien chinois, tout en jettant des ponts graphiques vers l’Europe.
Lien : http://www.actuabd.com/Les-C..
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Les contes de la ruelle

Oeuvre à la croisée des chemins que ces Contes de la ruelle. Il y a beaucoup de formats en bande dessinée (manga, à l'européenne, comics, à l'italienne...) mais celui-ci est assez inédit, plus proche du comics ou à mi-chemin entre le format manga et l'européen (si on regarde les influences de l'auteur). L'auteur se reconnait en effet comme influences à la fois des mangaka japonais et des auteurs européens comme Hergé et Moebius.



Le dessin est assez naïf, plus réaliste que du manga, moins "ligne claire" qu'Hergé. Les quatre histoires qui habitent cette ruelle ont pour personnages principaux une petite fille avec un handicap physique et son grand-père un peu obèse. Des blessés de la vie qui se soutiennent avec de grands sourires et plein d'imagination. Chaque histoire se termine à chaque fois par un élément plus onirique, beaucoup moins réaliste que tout le reste. Les difficultés de la vie ne sont pas occultées, la petite fille est souvent confrontée au regard dur de la société sur son handicap... mais elle décide de s'entourer des gens bienveillants, et de croire au bonheur... et cela finit par l'attirer ce bonheur. Il "suffit" de vivre ses rêves, de compter sur ceux qui nous aiment et d'espérer que la magie fera le reste.



De telles histoires bien ancrées dans le réel mais plein de good feelings font réellement du bien dans cette période mortifère.
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Les contes de la ruelle

Jolie petite BD composée de 4 histoires mettant en scène un grand père, ancien facteur, et sa petite-fille handicapée.

C'est tout mignon, c'est onirique,c'est plein de bons sentiments et c'est bien dessiné et ça devrait plaire à un jeune public.

L'adulte sourira et sera sans doute un peu touché mais ça manque, pour moi, d'un petit quelque chose...
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Les contes de la ruelle

Devant ces deux bouilles rondes sur un vélo l'attrait l'emporte tout de suite.

Le chinois Nie Jun nous plonge dans un quartier tranquille de Pékin où vivent Pépé Doubao et sa petite fille handicapée Yu'er.

Les quatre nouvelles des " contes de la ruelle" racontent des scènes de la vie quotidienne entre le vieux facteur et les relations avec le voisinage. Sa petite fille participe au bonheur que Pépé donne autour de lui. Entre rêve et réalité Nie Jun dessine avec poésie une humanité aimante sans aucune violence.

Une bd au regard tendre dont les aquarelles contribuent à l'atmosphère sereine qui s'en dégage.

Une jolie découverte pour la jeunesse et un bol d'air pour les autres.
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Les contes de la ruelle

C'est une bd qui m'avait été chaudement recommandée... je n'ai malheureusement pas été tant séduite!! Je reconnais que la poésie qui s'en dégage et les dessins soignés sont agréables à parcourir, mais il m'a manqué quelque chose : j'ai trouvé l'ensemble très (trop) naïf pour moi, et cela m'a coupé l'émotion.

Je suis bien plus éblouie par les dessins de Taniguchi ou des studios Ghibli, plus fins et délicats à mon sens... j'ai tout de même passé un bon moment.
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Les contes de la ruelle

Récit d’une enfance marquée par le handicap mais aussi par une incroyable relation grand-parent enfant dans un quartier chinois.



Le dessin est léger et autour du trait s’étire l’aquarelle. Le rendu évoque un passé doux et magnifié.



Diverses histoires rythment le livre autour des deux personnages principaux : la piscine, les insectes, la lettre et les timbres, l’art de peindre. Elles tissent des liens entre le passé et le présent, entre le possible et l’impossible.



Une bande dessinée qui est un hymne à l’imagination et à l’héritage des adultes qui savent enchanter la vie.



Intéressant


Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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Les contes de la ruelle

B.D que je dois à Jérôme et Noukette et aussi à une irri­sis­tible envie de me faire du bien. Voilà une histoire où des gens s’aiment, savent se le dire et que je ne trouve pas « gnan­gnan » pour autant. Sans doute à cause de la part de rêve que ce dessi­na­teur sait mettre dans son récit. Et puis, j’aime bien ce dessin où il y a plein de petits détails à décou­vrir, on peut rester sur une planche rien que pour le plaisir des yeux. Je l’avais achetée pour mes petits enfants, mais je vais la garder pour moi, ils la liront à leur prochaine visite. Ma collec­tions de BD à propos de personnes âgées augmente après Mamette, les Vieux Four­neaux ‚ voici ce merveilleux grand-​père chinois
Lien : http://luocine.fr/?p=5999
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Les contes de la ruelle

Il s'agit d'un magnifique album rassemblant quatre histoires. Les héros, une petite fille et son grand-père apparaissent dans chacune des histoires. Ces histoires se déroulent dans un quartier chinois. Yu'er vit avec son grand-père et rêve d'apprendre à nager. Mais, différente, les autres enfants refusent de l'intégrer à l'équipe de natation. Alors, son grand-père la suspend par une corde à un arbre de la cour de leur habitation. A force de volonté et d'encouragement de ses amis, elle réalise son rêve.

L'histoire suivante, nous découvrons une partie de l'enfance du grand-père. Yu'er rencontre son grand-père, enfant, après une altercation avec trois durs du quartier. Il lui fait découvrir son jardin secret où les insectes et petits mammifères chantent et dansent.

La troisième histoire revient sur le parcours du grand-père qui était facteur. Il collectionnait les timbres. C'est grâce à son métier qu'il rencontre sa femme.

Et enfin, la dernière histoire évoque, l'art, la création artistique, la beauté.

Les planches sont aérées. Les personnages et paysages sont pleins. le coup de crayon est ouvert et les couleurs pastels rendent la magie marquante.

J'ai voyagé sans bouger de mon fauteuil.
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Les contes de la ruelle

De petites tranches de vie d'un quartier chinois qui font de cette bd une lecture agréable. Les personnages sont attachant et la magie s'invite en silence au fil du récit.

Des tons pastels et clair ajoutent une touche apaisante au histoire.

Une bd à lire pour partager des petits instants de vie
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