- Tu crois vraiment que je vais te quitter des yeux ? Alex, tu es un aimant à emmerdes ; et à la décharge des emmerdes, c'est toi qui vas à leur rencontre.
- Je n'avais pas même un souffle à t'offrir pour te ramener à la vie. Tout ce que je pouvais faire, c'était prendre ton âme ou la laisser à l'intérieur de ton corps mourant.
- Je vais bien, lui assurai-je.
- Pas grâce à moi.
« - Tu es bourré, murmurai-je.
- Et alors ? Il mordilla le morceau de chair tendre à la jonction de ma mâchoire et de mon cou. Ses dents éraflant ma peau provoquèrent une nouvelle décharge en moi, et je me sentis un instant transportée. Je repoussai violemment ses épaules. Mon dos étant plaqué au mur, il fallait bien que quelque chose cède, et il n'était pas aussi robuste que le bois.
- Alors ? Il y avait un sort dans le verre. Cela affecte ton jugement. Il jura dans sa barbe et m'attrapa les poignets, éloignant mes paumes de ses épaules. Il se pencha vers moi jusqu'à ce que ses mots roulent sur mes lèvres.
- Tu crois que je ne le ferais pas si je n'étais pas bourré ?
Pour me prouver son point de vue, il referma ses lèvres sur les miennes. Son baiser fut retenu, s'achevant presque avant d'avoir commencé. Mon ventre se noua, regretta la passion de la minute précédente. Quelle imbécile. Mauvaise idée. Je secouai la tête. Non. S'il n'était pas soûl, nous ne serions pas ici… »
la mort s'adossa au mur opposé, ses brasmusclé croisé sur la poitrine. il souriait avec une innocence demoniaque, dissimulé derriere ses longs cheveux noir qui lui encadrai le menton.
je lui lancai un regard furieux et recuperai mon sac par terre. je ne pouvais pas lui en vouloir d'avoir arracher l'ame de baker. apres tout c'est son boulot. mais...
- tu aurai pu attendre qu'il me paie
il haussa les epaule
- il ne semblai pas en avoir l'intention
« Il déverrouilla son coffre et en tira trois pistolets et plusieurs chargeurs, de même que son insigne du BIF, un deuxième étui, et deux couteaux. Il en dissimula certains dans diverses poches de ses vêtements, et fourra le reste dans son sac marin.
Je le dévisageai, surprise.
— Tu pars à la guerre ? Tu es sûr de ne pas oublier ton fusil d'assaut ?
— Tu les as rencontrés, pas vrai ?
Il ferma son sac.
— Ça veut dire qu'il faudrait que je me procure une arme ?
— J'en tremble d'avance. (Il attrapa un blazer qu'il se glissa sur l'épaule.) Tu as déjà une bonne lame, déclara-t-il en désignant du menton le poignard dissimulé dans ma botte.
— C'est un cadeau.
— Je n'en ai jamais douté. Si tu veux porter une dague, tu vas devoir apprendre à t'en servir.
Je lui lançai un regard noir.
— Je sais m'en servir. J'enfonce le bout pointu dans les trucs qui ne me plaisent pas. »
« LaMort s'adossa au mur opposé, ses bras musclés croisés sur la poitrine. Il souriait avec une innocence démoniaque, dissimulé derrière ses longs cheveux noirs qui lui encadraient le menton. »
« La première fois que j'ai rencontré mon grand ami LaMort, je lui ai jeté à la figure le dossier médicale de ma mère. On peut dire que j'ai foiré ma première impression, mais j'avais cinq ans à l'époque, et il a fini par me pardonner. J'ai parfois regretté sa mansuétude... Surtout quand on se croisait pour le boulot. »
- Arrête de loucher sur...
Je m'interrompis et elle fit volte face.
- Allais tu dire " mon mec" ? Je veux des détails. Tu a intérêt a tout déballer.
En réalité, j'allais dire "la mort", ce qui aurait été encore pire.
Il déverrouilla son coffre et en tira trois pistolets et plusieurs chargeurs, de même que son insigne du BIF, un deuxième étui, et deux couteaux. Il en dissimula certains dans diverses poches de ses vêtements, et fourra le reste dans son sac marin.
Je le dévisageai, surprise.
— Tu pars à la guerre ? Tu es sûr de ne pas oublier ton fusil d'assaut ?
— Tu les as rencontrés, pas vrai ?
Il ferma son sac.
— Ça veut dire qu'il faudrait que je me procure une arme ?
— J'en tremble d'avance. (Il attrapa un blazer qu'il se glissa sur l'épaule.) Tu as déjà une bonne lame, déclara-t-il en désignant du menton le poignard dissimulé dans ma botte.
— C'est un cadeau.
— Je n'en ai jamais douté. Si tu veux porter une dague, tu vas devoir apprendre à t'en servir.
Je lui lançai un regard noir.
— Je sais m'en servir. J'enfonce le bout pointu dans les trucs qui ne me plaisent pas.
Il déverrouilla son coffre et en tira trois pistolets et plusieurs chargeurs, de même que son insigne du BIF, un deuxième étui, et deux couteaux. Il en dissimula certains dans diverses poches de ses vêtements, et fourra le reste dans son sac marin.
Je le dévisageai, surprise.
— Tu pars à la guerre ? Tu es sûr de ne pas oublier ton fusil d'assaut ?
— Tu les as rencontrés, pas vrai ?
Il ferma son sac.
— Ça veut dire qu'il faudrait que je me procure une arme ?
— J'en tremble d'avance. (Il attrapa un blazer qu'il se glissa sur l'épaule.) Tu as déjà une bonne lame, déclara-t-il en désignant du menton le poignard dissimulé dans ma botte.
— C'est un cadeau.
— Je n'en ai jamais douté. Si tu veux porter une dague, tu vas devoir apprendre à t'en servir.
Je lui lançai un regard noir.
— Je sais m'en servir. J'enfonce le bout pointu dans les trucs qui ne me plaisent pas.