La vérité, c’est que parfois, j’ai des moments de faiblesse incontrôlables qui m’envoient presque à genoux. Il suffit d’un rien : une bouche de métro déserte, une rue qui se vide à la nuit tombée, les éclats de rire d’un groupe devant lequel je passe… D’un coup, je me sens vulnérable, alors que je peux battre n’importe qui, pourvu qu’on ne me drogue pas.