Il avait dû sentir ma peur, car il me prit brusquement la main et la chair de poule remonta le long de mon bras.
— Tu me fais confiance ?
Je me mordis la lèvre et hochai lentement la tête.
— Tu sais que je te protègerais quoi qu’il arrive, n’est-ce pas ?
— Oui.
— Tant mieux.
Il sourit et son regard se radoucit. Il me lâcha enfin la main et s’installa plus confortablement sur son rocher.