Ma mère avait trop besoin de moi. Sur le plan affectif. Et logistique. Elle ne pouvait plus se payer une femme de ménage. Et je constituais pour elle une main-d'œuvre gratuite. Et corvéable à merci. Je montrais cependant tellement de mauvaise volonté, un fer à la main, qu'elle avait fini par accepter que je renonce au repassage.