J’ai toujours cru que je n’avais pas besoin de te formuler les choses pour que tu les saches. Comme si nos cerveaux fonctionnaient en réseau, comme par télépathie. Je me suis fourvoyée. J’aurais dû te parler davantage quand nous étions ensemble, te confier mes inquiétudes, mes doutes, tant qu’il en était encore temps.