Karine Van de Velde

Un recueil de poésie sympathique qui nous fait voyager dans les terre d’Afrique,mal grès quelques défauts dont je vais vous parler de suite avant de parler du positif.

petit défauts:

-son prix 14€ pour à peine 80 pages

- certaines pages blanche dans le recueil

- lexique explicatif à la fin du livre alors que l'on bloque sur certain terme pour notre lecture il aurait été plus judicieux de mettre le mot concerné en bas de la page ou faire une annotation " voir fin du livre pour la définition"

ses points forts:

la poésie la délicatesse de la plume de l'auteur,

les illustrations (tableaux) sublimes qui nous font voyager et qui ont toujours un rapport avec le thème.

- le voyage, ce livre nous fait voyager dans des contrées lointaines, j'ai beaucoup appréciée partir en Afrique le temps de cette lecture laisser notre esprit vagabondé dans les plages et desserts.



Merci à la masse critique de m'avoir sélectionnée c'était un honneur pour moi de lire ce recueil et merci à la maison d'édition Langlois Cécile pour l'envoie du livre avec son joli marque page

Oh que j’ai plongé totalement dans ce roman. j’ai été totalement séduite par ce récit raconté aux accents du traditionnel conte oral dans un pays de vent et de sable.



L’écriture est fluide et les chapitres courts, alternent entre l’improbable voyageur et celle qu’il a laissé derrière en Europe. Ainsi que le point de vue du gouverneur à quelques reprises. À travers ce chassé-croisé, nous proviens des questionnements sur les origines de l’improbable voyageur, le tout va être magnifiquement décortiqué dans le dénouement.



En bref, c’est à la fois un voyage extérieur dans les contrées désertiques du Sahara et un voyage intérieur à travers les questionnements des différents personnages.
Lien : https://leschroniqueslittera..

Karine van de Velde nous avait habitué à sa plume poétique avec ses deux ouvrages, « Les écueils du recueil » et « Au temps de l’hivernage », parus tous deux chez éditions LC. .

Nous avions annoncé lors d’un précédent article la parution prochaine d’un roman.

C’est chose faite.

L’improbable voyageur est arrivé dans les librairies et il y a fait une entrée fracassante.

N’oublions pas qu’il s’agît du premier roman de cette auteure qui nous a déjà séduit par sa plume lors de ses précédents ouvrages.

On retrouve cette nervosité dans l’écriture au fil des pages de ce livre.

Un style très particulier d’une originalité nouvelle, un voyage intérieur dans un monde extérieur magnifiquement dépeint par l’auteur qui est aussi ne l’oublions pas peintre.

Elle nous brosse des portraits ciselés comme elle l’aurait fait d’un tableau.

Sa grande connaissance de la nature humaine fait qu’elle nous déroule sur la trame de sa toile, des personnages hauts en couleurs, certains d’une bassesse écœurante.

L’intrigue vous tient en haleine à chaque page.

Le style est fluide, l’écriture coule comme le fleuve qui nous baigne au travers de ces pages.

Un roman d’aventure que nous pourrions croire écrit à une autre époque tant le talent de l’écrivain nous transporte dans le passé.

Nous voyageons dans l’immensité de la nature et l’étroitesse d’esprit de certain personnage jusqu’au dénouement final.

La magnifique préface de Djamel Boussafsaf est à la hauteur de ce bouleversent roman qui fait du bien au moral.



Ce livre vous emportera dans un voyage époustouflant.

Kariane Maxwell, déc 2017


Lien : http://kariane-maxwell.fr

L’écrivain et le peintre



Il y a des gens qui vous fascinent dès la première rencontre.



Pour mille et une raisons.



Karine van de Velde est de ceux-là !



Elle vous emmène dans son enfance africaine par ses tableaux, par ses écrits.



Elle est peintre et poète, issue d’une lignée d’artistes dont les origines remontent au XVème siècle.



De cette peinture hollandaise, elle en a gardé le trait fin et précis de ses aïeuls, la maîtrise du clair-obscur et un jeu subtil de lumières qui ne vont pas sans évoquer un certain William Turner.



Mais la comparaison s’arrête là car Karine van de Velde signe des toiles orientalistes d’une grande douceur avec une qualité picturale et une mise en scène unique.



Elle vit sa peinture et la rend vivante, nous faisant découvrir un monde énigmatique, celui du désert africain où se côtoient Touaregs, peuls, nigérians, maliens, mauritaniens et nigériens vacant à leurs occupations quotidiennes.



Il règne dans ses tableaux une douce nostalgie d’un temps révolu.



Certes l’orientalisme n’est plus à la mode et à contre-courant de l’art contemporain mais Karine van de Velde a décidé de s’imposer par son style, envers et contre tout.



Elle offre à son public lors de grands salons internationaux tout un choix de techniques diverses, aussi bien dessins que pastels ou encre de chine. Mais sa préférence va à la peinture à l’huile pour son côté sensuel dit-elle.



Car la sensualité se retrouve dans son œuvre écrite : « Mort lente du sommeil épuisé, corps sans vie car tu l’as bue à la source palpitante et humide de mon être » Les mots interdits in Les écueils du recueil, Editions Langlois Cécile



Les mots sont délicatement posés sur la page comme une touche de peinture.



Là encore une grande nostalgie vous saisit à la lecture de ce premier très beau recueil de poèmes écrits pour une grand part à son retour d’Afrique.







On retrouve le peintre au fil des pages, tant par les mots que par les illustrations de certains textes par ses propres toiles.



Il s’agît d’un livre flamboyant et dur à la fois, où les termes choisis sont tranchants comme des coutelas.



Dans son deuxième opus, « Au temps de l’hivernage » l’auteur nous fait découvrir l’Histoire du Mali, pays durement touché par la guerre et l’extrémisme.



Les vents africains rythment ce recueil, des vents de tempêtes ou de fraîcheur qui apportent la saison bénie de l’hivernage, celle où les corps et les cœurs s’apaisent.



On sent chez l’auteur un amour profond de sa terre d’enfance, de son terreau qui l’a fait grandir comme elle aime à le rappeler.



Le portrait serait incomplet s’il ne se profilait pas, à l’horizon 2017, la sortie d’un nouveau livre, un roman cette fois-ci.







Un roman d’aventure où l’auteur nous livre des portraits d’hommes et de femmes torturés par leurs ambitions ou leurs passés.



Au fil des pages, nous voyons se dérouler, tel un somptueux tapis d’orient les motifs des uns et des autres, le tout posé sur un continent majestueux qu’il vous appartiendra de découvrir lors de sa prochaine sortie.







Kariane Maxwell, décembre 2016












Lien : http://kariane-maxwell.fr

Tout d'abord, j'ai apprécié qu'il y ait un marque page fournit avec le livre.Quant à la préface de Cécile Langlois, elle est agréable à lire et quelque peu poétique à mon goût.

Ce livre a été pour moi une vraie découverte car je ne connaissais pas ce style de poèmes.

J'ai été surprise par l'absence de rimes et la disposition des vers. Ces derniers sont disposés d'une façon originale.Je suis allé chercher des informations et j'ai appris qu'il s'agissait de poèmes en prose.

Malgré l'absence de rimes, ces poèmes sont poétiques, agréables à lire mais j'ai trouvé que la ponctuation était importante pour garder le rythme.

J'ai quand même été déroutée, déstabilisée par certains poèmes qui comprenaient des mots plus compliqués ou qui n'avaient pas de titre. Le fait de ne pas comprendre la signification d'un mot casse le rythme de la lecture. Heureusement l'auteur a pensé à mettre un lexique en fin de livre.

L'auteur accompagne ses textes de tableaux de son œuvre vraiment très beaux.

Ce récit de poèmes nous permet de voyager et laisse libre court à notre imagination.

Que vous soyez "pro" ou novice de la poésie, je vous le recommande.

Bonne lecture!
Lien : http://scoobydu41.over-blog...

Magnifique recueil de poèmes découvert grâce à la masse critique de babelio. Dès la.prise en main ce recueil vous transporte.. Sa couverture est douce, satinée. Amour. Sensibilité et nostalgie parsèment ce recueil richement illustré par les tableaux de l' auteur. Pour ceux qui veulent s'offrir une pause poétique dépaysante.

Nous avions adoré le premier opus de L’improbable Voyageur, nous voilà conquis par la suite.

L’auteure, Karine van de Velde, nous emmène dans un tourbillon d’événements, dans ce début du XX siècle.

Les intrigues se nouent et se dénouent dans un rythme haletant, décrits avec brio par la plume toujours aussi affûtée et nerveuse de l’auteure.

Ce deuxième roman est plus abouti encore que le premier, les personnages y sont décris avec tendresse, les décors sont merveilleusement plantés, tel un film en cinémascope.

Les uns et les autres déroulent leurs tourments, leurs joies, leurs recherches sous les yeux avides du lecteur.

Car tout le talent de Karine van de Velde réside dans sa capacité à maintenir le suspens de l’intrigue, qu’elle tient au bout de sa plume.

Les descriptions des massacres perpétrés lors du génocide arménien sont à la limite du soutenable. L’écriture est franche sans non-dits. L’auteure ne juge pas, elle prend faits et actes des horreurs du passé.

Ce deuxième roman, suite de L’Improbable Voyageur est plus fouillé, les faits historiques plus nombreux. De grands personnages ayant marqués l’histoire y font leur apparition.

Malgré des lignes assez dures, la poésie est toujours omniprésente au fil des pages.



La préface à été confiée à Nathalie Delagarde-Truchot, journaliste et écrivain, auteure du très beau livre « Les caravanes oubliées » parût aux éditions Riveneuve.

« L’Improbable Voyageur, le temps des partages » est un très beau roman d’aventure humaine, de rappel du passé, qui enchantera les lecteurs qui ont déjà suivit les pérégrinations du personnage principal dans le premier opus et qui conquerra à n’en pas douter, un nouveau public.

Un ouvrage à lire pour ne pas répéter les erreurs du passé.


Lien : http://kariane-maxwell.fr

On retrouve le peintre au fil des pages, tant par les mots que par les illustrations de certains textes par ses propres toiles.

Il s’agît d’un livre flamboyant et dur à la fois, où les termes choisis sont tranchants comme des coutelas.

Dans son deuxième opus, « Au temps de l’hivernage » l’auteur nous fait découvrir l’Histoire du Mali, pays durement touché par la guerre et l’extrémisme.

Les vents africains rythment ce recueil, des vents de tempêtes ou de fraîcheur qui apportent la saison bénie de l’hivernage, celle où les corps et les cœurs s’apaisent.

On sent chez l’auteur un amour profond de sa terre d’enfance, de son terreau qui l’a fait grandir comme elle aime à le rappeler.

Karine van de Velde maîtrise l’art du conte oral dans ces poèmes aux sons des grandes épopées de l’Afrique.

Un livre qui navigue entre légendes et histoire.

La magie des mots opère, on se laisse porter par les images qui viennent à notre esprit.

Un recueil pour voyages immobiles, pour trouver la chaleur au cœur de l’hiver.

L’auteur nous enchante, nous transcende par un phrasé à la fois simple et construit.



De la poésie certes, mais qui se dévore et se relit comme un bon roman.



©Kariane Maxwell






Lien : http://kariane-maxwell.fr

Un beau voyage à travers le desert et l'histoire. Je felicite l'auteur pour avoir garder jusqu'au bout l'intrigue du personnage. J espere qu'il y araut une suite..