La paternité avait certes de bons côtés, beaucoup de bons côtés, mais l’homme avait tendance à passer au second plan dans la réorganisation qu’impliquait l’arrivée d’un bébé. En tant que docteur, il comprenait parfaitement : c’est la femme qui subissait le stress physique, qui endurait les douleurs du travail. Mais, en tant que père, il aurait aimé un peu plus de compassion de la part du reste du monde en général. Moins de tapes chaleureuses sur les épaules et plus de propositions pour l’aider à nettoyer le sol.