pourtant Salomon et Makeda ne s assujettirent pas l un à l autre car ils étaient égaux, chacun en son royaume et en son destin. tous deux savaient que viendrait le moment où ils devraient se séparer et retourner aux devoirs de leurs fonctions en leurs terres, seuls l un et l autre, riches d une nouvelle sagesse. leur gloire résidait en ce qu ils s étaient apportés l un à l autre et qu ils auraient à pratiquer dans l accomplissement de leurs destinées individuelles