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Critiques de Ken`etsu Sato (19)
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The Qwaser of Stigmata, tome 1

Bon, je me lance pour toute la série :

Au XXIe siècle, les affrontements religieux se multiplient, notamment au Japon. C'est la remise en cause de la foi divine et pour certain, le rapprochement avec les idées obscurantistes du christianisme orthodoxe qui sont les racines de ce conflit. De son côté, Mafuyu Oribe et sa cousine Tomo Yamanobe, (qui est la fille du fondateur de l'école, qui, lui, à disparu), sont toutes les deux étudiantes à la prestigieuse académie St-Mikhailov. Elles font la connaissance d'un mystérieux jeune garçon à la chevelure argentée.

Son nom est Aleksander "Sasha" Nikolaevich Her. Ce dernier n’est autre qu’un Qwaser, créature qui tire son pouvoir du soma (substance liquide contenu dans les seins des femmes) et capable de manipuler un des matériaux du tableau périodique des éléments (oxygène, fer...). C’est le mystère qui plane autour d’une icône, censée exaucer tous les vœux, qui va mettre le feu aux poudres et entraîner l’académie dans la bataille sanglante contre d'autres Qwaser...Alesksander est le Qwaser du fer.

Plus jeune, j'étais assez accro à la bande dessinée. Je dois dire que depuis pas mal d'année, j'ai mis cet intérêt de côté. J'ai découvert cette série de manga par hasard, sans doute un lien partagé avec l'un de mes contacts sur un autre réseau social. Je n'avais jamais lu de manga. C'est donc ma première expérience avec ce genre si particulier. Déjà, lire en commençant par la dernière page d'un livre, c'est une habitude à prendre.

Qu'en penser ? Les dessins ne sont pas si mal, les jeunes femmes y sont admirablement dessinées. Ce qui m'a accroché, c'est ce rapport avec les éléments chimiques, surtout que l'élément du héros principal est le fer, moi qui suis forgeron, ...

On y retrouve d'ailleurs ce côté justicier avec ce métal. Légende qui a traversé les siècles depuis le début de la sidérurgie. Cette ambivalence liée à ce métal, le forgeron capable de forger pour la mort en façonnant l'épée ou pour la vie en forgeant un soc de charrue. (Lire Mircea Eliade, Forgeron et Alchimiste).

Pour le reste, les Qwaser doivent trouver une énergie leur permettant de pouvoir utiliser leur pouvoir sur la matière. Quand ils s'affrontent, c'est leur élément chimique contre celui de l'autre. Il suffit d'imaginer un métal sensible à l'oxydation comme le fer se battre contre l'oxygène. Leur nourriture est la Soma, contenue dans le sein des femmes. Avant chaque combat, les Qwaser, bons ou méchants, doivent donc prendre la tétée, de gré ou de force.

Bon, le scénario est assez violent. Les scènes de combat sont assez figées, ce qui me semble, malgré mon inexpérience des mangas, propre au genre. Parfois, quand il y a beaucoup de personnages dans une scène, le dessin est assez chargé. Parfois, un personnage ou l'autre, même dans une scène dramatique, prend une pose ou fait des mimiques comiques, proche du ridicule. Je pense que la aussi, c'est caractéristique des mangas.

En bref, j'ai lu toute la série, donc, j'ai tout de même été assez accroché par l'histoire. J'étais en vacances, ça m'a reposé. Depuis, j'ai tenté d'autres expériences " manganèsques ", plus ou moins heureuses. Je n'ai pas assez de connaissances du manga pour pouvoir y naviguer sans écueil et y faire des choix judicieux. Le plus troublant, avec cette série, c'est qu'elle se termine par un début, de nouveaux combats et personnages et puis, plus de suite. Ca me laisse sur ma faim.

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The Qwaser of Stigmata, tome 14

Bon, je me lance pour toute la série :

Au XXIe siècle, les affrontements religieux se multiplient, notamment au Japon. C'est la remise en cause de la foi divine et pour certain, le rapprochement avec les idées obscurantistes du christianisme orthodoxe qui sont les racines de ce conflit. De son côté, Mafuyu Oribe et sa cousine Tomo Yamanobe, (qui est la fille du fondateur de l'école, qui, lui, à disparu), sont toutes les deux étudiantes à la prestigieuse académie St-Mikhailov. Elles font la connaissance d'un mystérieux jeune garçon à la chevelure argentée.

Son nom est Aleksander "Sasha" Nikolaevich Her. Ce dernier n’est autre qu’un Qwaser, créature qui tire son pouvoir du soma (substance liquide contenu dans les seins des femmes) et capable de manipuler un des matériaux du tableau périodique des éléments (oxygène, fer...). C’est le mystère qui plane autour d’une icône, censée exaucer tous les vœux, qui va mettre le feu aux poudres et entraîner l’académie dans la bataille sanglante contre d'autres Qwaser...Alesksander est le Qwaser du fer.

Plus jeune, j'étais assez accro à la bande dessinée. Je dois dire que depuis pas mal d'année, j'ai mis cet intérêt de côté. J'ai découvert cette série de manga par hasard, sans doute un lien partagé avec l'un de mes contacts sur un autre réseau social. Je n'avais jamais lu de manga. C'est donc ma première expérience avec ce genre si particulier. Déjà, lire en commençant par la dernière page d'un livre, c'est une habitude à prendre.

Qu'en penser ? Les dessins ne sont pas si mal, les jeunes femmes y sont admirablement dessinées. Ce qui m'a accroché, c'est ce rapport avec les éléments chimiques, surtout que l'élément du héros principal est le fer, moi qui suis forgeron, ...

On y retrouve d'ailleurs ce côté justicier avec ce métal. Légende qui a traversé les siècles depuis le début de la sidérurgie. Cette ambivalence liée à ce métal, le forgeron capable de forger pour la mort en façonnant l'épée ou pour la vie en forgeant un soc de charrue. (Lire Mircea Eliade, Forgeron et Alchimiste).

Pour le reste, les Qwaser doivent trouver une énergie leur permettant de pouvoir utiliser leur pouvoir sur la matière. Quand ils s'affrontent, c'est leur élément chimique contre celui de l'autre. Il suffit d'imaginer un métal sensible à l'oxydation comme le fer se battre contre l'oxygène. Leur nourriture est la Soma, contenue dans le sein des femmes. Avant chaque combat, les Qwaser, bons ou méchants, doivent donc prendre la tétée, de gré ou de force.

Bon, le scénario est assez violent. Les scènes de combat sont assez figées, ce qui me semble, malgré mon inexpérience des mangas, propre au genre. Parfois, quand il y a beaucoup de personnages dans une scène, le dessin est assez chargé. Parfois, un personnage ou l'autre, même dans une scène dramatique, prend une pose ou fait des mimiques comiques, proche du ridicule. Je pense que la aussi, c'est caractéristique des mangas.

En bref, j'ai lu toute la série, donc, j'ai tout de même été assez accroché par l'histoire. J'étais en vacances, ça m'a reposé. Depuis, j'ai tenté d'autres expériences " manganèsques ", plus ou moins heureuses. Je n'ai pas assez de connaissances du manga pour pouvoir y naviguer sans écueil et y faire des choix judicieux. Le plus troublant, avec cette série, c'est qu'elle se termine par un début, de nouveaux combats et personnages et puis, plus de suite. Ca me laisse sur ma faim.

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The Qwaser of Stigmata, tome 8

Bon, je me lance pour toute la série :

Au XXIe siècle, les affrontements religieux se multiplient, notamment au Japon. C'est la remise en cause de la foi divine et pour certain, le rapprochement avec les idées obscurantistes du christianisme orthodoxe qui sont les racines de ce conflit. De son côté, Mafuyu Oribe et sa cousine Tomo Yamanobe, (qui est la fille du fondateur de l'école, qui, lui, à disparu), sont toutes les deux étudiantes à la prestigieuse académie St-Mikhailov. Elles font la connaissance d'un mystérieux jeune garçon à la chevelure argentée.

Son nom est Aleksander "Sasha" Nikolaevich Her. Ce dernier n’est autre qu’un Qwaser, créature qui tire son pouvoir du soma (substance liquide contenu dans les seins des femmes) et capable de manipuler un des matériaux du tableau périodique des éléments (oxygène, fer...). C’est le mystère qui plane autour d’une icône, censée exaucer tous les vœux, qui va mettre le feu aux poudres et entraîner l’académie dans la bataille sanglante contre d'autres Qwaser...Alesksander est le Qwaser du fer.

Plus jeune, j'étais assez accro à la bande dessinée. Je dois dire que depuis pas mal d'année, j'ai mis cet intérêt de côté. J'ai découvert cette série de manga par hasard, sans doute un lien partagé avec l'un de mes contacts sur un autre réseau social. Je n'avais jamais lu de manga. C'est donc ma première expérience avec ce genre si particulier. Déjà, lire en commençant par la dernière page d'un livre, c'est une habitude à prendre.

Qu'en penser ? Les dessins ne sont pas si mal, les jeunes femmes y sont admirablement dessinées. Ce qui m'a accroché, c'est ce rapport avec les éléments chimiques, surtout que l'élément du héros principal est le fer, moi qui suis forgeron, ...

On y retrouve d'ailleurs ce côté justicier avec ce métal. Légende qui a traversé les siècles depuis le début de la sidérurgie. Cette ambivalence liée à ce métal, le forgeron capable de forger pour la mort en façonnant l'épée ou pour la vie en forgeant un soc de charrue. (Lire Mircea Eliade, Forgeron et Alchimiste).

Pour le reste, les Qwaser doivent trouver une énergie leur permettant de pouvoir utiliser leur pouvoir sur la matière. Quand ils s'affrontent, c'est leur élément chimique contre celui de l'autre. Il suffit d'imaginer un métal sensible à l'oxydation comme le fer se battre contre l'oxygène. Leur nourriture est la Soma, contenue dans le sein des femmes. Avant chaque combat, les Qwaser, bons ou méchants, doivent donc prendre la tétée, de gré ou de force.

Bon, le scénario est assez violent. Les scènes de combat sont assez figées, ce qui me semble, malgré mon inexpérience des mangas, propre au genre. Parfois, quand il y a beaucoup de personnages dans une scène, le dessin est assez chargé. Parfois, un personnage ou l'autre, même dans une scène dramatique, prend une pose ou fait des mimiques comiques, proche du ridicule. Je pense que la aussi, c'est caractéristique des mangas.

En bref, j'ai lu toute la série, donc, j'ai tout de même été assez accroché par l'histoire. J'étais en vacances, ça m'a reposé. Depuis, j'ai tenté d'autres expériences " manganèsques ", plus ou moins heureuses. Je n'ai pas assez de connaissances du manga pour pouvoir y naviguer sans écueil et y faire des choix judicieux. Le plus troublant, avec cette série, c'est qu'elle se termine par un début, de nouveaux combats et personnages et puis, plus de suite. Ca me laisse sur ma faim.

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The Qwaser of Stigmata, tome 11

Bon, je me lance pour toute la série :

Au XXIe siècle, les affrontements religieux se multiplient, notamment au Japon. C'est la remise en cause de la foi divine et pour certain, le rapprochement avec les idées obscurantistes du christianisme orthodoxe qui sont les racines de ce conflit. De son côté, Mafuyu Oribe et sa cousine Tomo Yamanobe, (qui est la fille du fondateur de l'école, qui, lui, à disparu), sont toutes les deux étudiantes à la prestigieuse académie St-Mikhailov. Elles font la connaissance d'un mystérieux jeune garçon à la chevelure argentée.

Son nom est Aleksander "Sasha" Nikolaevich Her. Ce dernier n’est autre qu’un Qwaser, créature qui tire son pouvoir du soma (substance liquide contenu dans les seins des femmes) et capable de manipuler un des matériaux du tableau périodique des éléments (oxygène, fer...). C’est le mystère qui plane autour d’une icône, censée exaucer tous les vœux, qui va mettre le feu aux poudres et entraîner l’académie dans la bataille sanglante contre d'autres Qwaser...Alesksander est le Qwaser du fer.

Plus jeune, j'étais assez accro à la bande dessinée. Je dois dire que depuis pas mal d'année, j'ai mis cet intérêt de côté. J'ai découvert cette série de manga par hasard, sans doute un lien partagé avec l'un de mes contacts sur un autre réseau social. Je n'avais jamais lu de manga. C'est donc ma première expérience avec ce genre si particulier. Déjà, lire en commençant par la dernière page d'un livre, c'est une habitude à prendre.

Qu'en penser ? Les dessins ne sont pas si mal, les jeunes femmes y sont admirablement dessinées. Ce qui m'a accroché, c'est ce rapport avec les éléments chimiques, surtout que l'élément du héros principal est le fer, moi qui suis forgeron, ...

On y retrouve d'ailleurs ce côté justicier avec ce métal. Légende qui a traversé les siècles depuis le début de la sidérurgie. Cette ambivalence liée à ce métal, le forgeron capable de forger pour la mort en façonnant l'épée ou pour la vie en forgeant un soc de charrue. (Lire Mircea Eliade, Forgeron et Alchimiste).

Pour le reste, les Qwaser doivent trouver une énergie leur permettant de pouvoir utiliser leur pouvoir sur la matière. Quand ils s'affrontent, c'est leur élément chimique contre celui de l'autre. Il suffit d'imaginer un métal sensible à l'oxydation comme le fer se battre contre l'oxygène. Leur nourriture est la Soma, contenue dans le sein des femmes. Avant chaque combat, les Qwaser, bons ou méchants, doivent donc prendre la tétée, de gré ou de force.

Bon, le scénario est assez violent. Les scènes de combat sont assez figées, ce qui me semble, malgré mon inexpérience des mangas, propre au genre. Parfois, quand il y a beaucoup de personnages dans une scène, le dessin est assez chargé. Parfois, un personnage ou l'autre, même dans une scène dramatique, prend une pose ou fait des mimiques comiques, proche du ridicule. Je pense que la aussi, c'est caractéristique des mangas.

En bref, j'ai lu toute la série, donc, j'ai tout de même été assez accroché par l'histoire. J'étais en vacances, ça m'a reposé. Depuis, j'ai tenté d'autres expériences " manganèsques ", plus ou moins heureuses. Je n'ai pas assez de connaissances du manga pour pouvoir y naviguer sans écueil et y faire des choix judicieux. Le plus troublant, avec cette série, c'est qu'elle se termine par un début, de nouveaux combats et personnages et puis, plus de suite. Ca me laisse sur ma faim.

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The Qwaser of Stigmata, tome 9

Bon, je me lance pour toute la série :

Au XXIe siècle, les affrontements religieux se multiplient, notamment au Japon. C'est la remise en cause de la foi divine et pour certain, le rapprochement avec les idées obscurantistes du christianisme orthodoxe qui sont les racines de ce conflit. De son côté, Mafuyu Oribe et sa cousine Tomo Yamanobe, (qui est la fille du fondateur de l'école, qui, lui, à disparu), sont toutes les deux étudiantes à la prestigieuse académie St-Mikhailov. Elles font la connaissance d'un mystérieux jeune garçon à la chevelure argentée.

Son nom est Aleksander "Sasha" Nikolaevich Her. Ce dernier n’est autre qu’un Qwaser, créature qui tire son pouvoir du soma (substance liquide contenu dans les seins des femmes) et capable de manipuler un des matériaux du tableau périodique des éléments (oxygène, fer...). C’est le mystère qui plane autour d’une icône, censée exaucer tous les vœux, qui va mettre le feu aux poudres et entraîner l’académie dans la bataille sanglante contre d'autres Qwaser...Alesksander est le Qwaser du fer.

Plus jeune, j'étais assez accro à la bande dessinée. Je dois dire que depuis pas mal d'année, j'ai mis cet intérêt de côté. J'ai découvert cette série de manga par hasard, sans doute un lien partagé avec l'un de mes contacts sur un autre réseau social. Je n'avais jamais lu de manga. C'est donc ma première expérience avec ce genre si particulier. Déjà, lire en commençant par la dernière page d'un livre, c'est une habitude à prendre.

Qu'en penser ? Les dessins ne sont pas si mal, les jeunes femmes y sont admirablement dessinées. Ce qui m'a accroché, c'est ce rapport avec les éléments chimiques, surtout que l'élément du héros principal est le fer, moi qui suis forgeron, ...

On y retrouve d'ailleurs ce côté justicier avec ce métal. Légende qui a traversé les siècles depuis le début de la sidérurgie. Cette ambivalence liée à ce métal, le forgeron capable de forger pour la mort en façonnant l'épée ou pour la vie en forgeant un soc de charrue. (Lire Mircea Eliade, Forgeron et Alchimiste).

Pour le reste, les Qwaser doivent trouver une énergie leur permettant de pouvoir utiliser leur pouvoir sur la matière. Quand ils s'affrontent, c'est leur élément chimique contre celui de l'autre. Il suffit d'imaginer un métal sensible à l'oxydation comme le fer se battre contre l'oxygène. Leur nourriture est la Soma, contenue dans le sein des femmes. Avant chaque combat, les Qwaser, bons ou méchants, doivent donc prendre la tétée, de gré ou de force.

Bon, le scénario est assez violent. Les scènes de combat sont assez figées, ce qui me semble, malgré mon inexpérience des mangas, propre au genre. Parfois, quand il y a beaucoup de personnages dans une scène, le dessin est assez chargé. Parfois, un personnage ou l'autre, même dans une scène dramatique, prend une pose ou fait des mimiques comiques, proche du ridicule. Je pense que la aussi, c'est caractéristique des mangas.

En bref, j'ai lu toute la série, donc, j'ai tout de même été assez accroché par l'histoire. J'étais en vacances, ça m'a reposé. Depuis, j'ai tenté d'autres expériences " manganèsques ", plus ou moins heureuses. Je n'ai pas assez de connaissances du manga pour pouvoir y naviguer sans écueil et y faire des choix judicieux. Le plus troublant, avec cette série, c'est qu'elle se termine par un début, de nouveaux combats et personnages et puis, plus de suite. Ca me laisse sur ma faim.

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The Qwaser of Stigmata, tome 7

Bon, je me lance pour toute la série :

Au XXIe siècle, les affrontements religieux se multiplient, notamment au Japon. C'est la remise en cause de la foi divine et pour certain, le rapprochement avec les idées obscurantistes du christianisme orthodoxe qui sont les racines de ce conflit. De son côté, Mafuyu Oribe et sa cousine Tomo Yamanobe, (qui est la fille du fondateur de l'école, qui, lui, à disparu), sont toutes les deux étudiantes à la prestigieuse académie St-Mikhailov. Elles font la connaissance d'un mystérieux jeune garçon à la chevelure argentée.

Son nom est Aleksander "Sasha" Nikolaevich Her. Ce dernier n’est autre qu’un Qwaser, créature qui tire son pouvoir du soma (substance liquide contenu dans les seins des femmes) et capable de manipuler un des matériaux du tableau périodique des éléments (oxygène, fer...). C’est le mystère qui plane autour d’une icône, censée exaucer tous les vœux, qui va mettre le feu aux poudres et entraîner l’académie dans la bataille sanglante contre d'autres Qwaser...Alesksander est le Qwaser du fer.

Plus jeune, j'étais assez accro à la bande dessinée. Je dois dire que depuis pas mal d'année, j'ai mis cet intérêt de côté. J'ai découvert cette série de manga par hasard, sans doute un lien partagé avec l'un de mes contacts sur un autre réseau social. Je n'avais jamais lu de manga. C'est donc ma première expérience avec ce genre si particulier. Déjà, lire en commençant par la dernière page d'un livre, c'est une habitude à prendre.

Qu'en penser ? Les dessins ne sont pas si mal, les jeunes femmes y sont admirablement dessinées. Ce qui m'a accroché, c'est ce rapport avec les éléments chimiques, surtout que l'élément du héros principal est le fer, moi qui suis forgeron, ...

On y retrouve d'ailleurs ce côté justicier avec ce métal. Légende qui a traversé les siècles depuis le début de la sidérurgie. Cette ambivalence liée à ce métal, le forgeron capable de forger pour la mort en façonnant l'épée ou pour la vie en forgeant un soc de charrue. (Lire Mircea Eliade, Forgeron et Alchimiste).

Pour le reste, les Qwaser doivent trouver une énergie leur permettant de pouvoir utiliser leur pouvoir sur la matière. Quand ils s'affrontent, c'est leur élément chimique contre celui de l'autre. Il suffit d'imaginer un métal sensible à l'oxydation comme le fer se battre contre l'oxygène. Leur nourriture est la Soma, contenue dans le sein des femmes. Avant chaque combat, les Qwaser, bons ou méchants, doivent donc prendre la tétée, de gré ou de force.

Bon, le scénario est assez violent. Les scènes de combat sont assez figées, ce qui me semble, malgré mon inexpérience des mangas, propre au genre. Parfois, quand il y a beaucoup de personnages dans une scène, le dessin est assez chargé. Parfois, un personnage ou l'autre, même dans une scène dramatique, prend une pose ou fait des mimiques comiques, proche du ridicule. Je pense que la aussi, c'est caractéristique des mangas.

En bref, j'ai lu toute la série, donc, j'ai tout de même été assez accroché par l'histoire. J'étais en vacances, ça m'a reposé. Depuis, j'ai tenté d'autres expériences " manganèsques ", plus ou moins heureuses. Je n'ai pas assez de connaissances du manga pour pouvoir y naviguer sans écueil et y faire des choix judicieux. Le plus troublant, avec cette série, c'est qu'elle se termine par un début, de nouveaux combats et personnages et puis, plus de suite. Ca me laisse sur ma faim.

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The Qwaser of Stigmata, tome 12

Bon, je me lance pour toute la série :

Au XXIe siècle, les affrontements religieux se multiplient, notamment au Japon. C'est la remise en cause de la foi divine et pour certain, le rapprochement avec les idées obscurantistes du christianisme orthodoxe qui sont les racines de ce conflit. De son côté, Mafuyu Oribe et sa cousine Tomo Yamanobe, (qui est la fille du fondateur de l'école, qui, lui, à disparu), sont toutes les deux étudiantes à la prestigieuse académie St-Mikhailov. Elles font la connaissance d'un mystérieux jeune garçon à la chevelure argentée.

Son nom est Aleksander "Sasha" Nikolaevich Her. Ce dernier n’est autre qu’un Qwaser, créature qui tire son pouvoir du soma (substance liquide contenu dans les seins des femmes) et capable de manipuler un des matériaux du tableau périodique des éléments (oxygène, fer...). C’est le mystère qui plane autour d’une icône, censée exaucer tous les vœux, qui va mettre le feu aux poudres et entraîner l’académie dans la bataille sanglante contre d'autres Qwaser...Alesksander est le Qwaser du fer.

Plus jeune, j'étais assez accro à la bande dessinée. Je dois dire que depuis pas mal d'année, j'ai mis cet intérêt de côté. J'ai découvert cette série de manga par hasard, sans doute un lien partagé avec l'un de mes contacts sur un autre réseau social. Je n'avais jamais lu de manga. C'est donc ma première expérience avec ce genre si particulier. Déjà, lire en commençant par la dernière page d'un livre, c'est une habitude à prendre.

Qu'en penser ? Les dessins ne sont pas si mal, les jeunes femmes y sont admirablement dessinées. Ce qui m'a accroché, c'est ce rapport avec les éléments chimiques, surtout que l'élément du héros principal est le fer, moi qui suis forgeron, ...

On y retrouve d'ailleurs ce côté justicier avec ce métal. Légende qui a traversé les siècles depuis le début de la sidérurgie. Cette ambivalence liée à ce métal, le forgeron capable de forger pour la mort en façonnant l'épée ou pour la vie en forgeant un soc de charrue. (Lire Mircea Eliade, Forgeron et Alchimiste).

Pour le reste, les Qwaser doivent trouver une énergie leur permettant de pouvoir utiliser leur pouvoir sur la matière. Quand ils s'affrontent, c'est leur élément chimique contre celui de l'autre. Il suffit d'imaginer un métal sensible à l'oxydation comme le fer se battre contre l'oxygène. Leur nourriture est la Soma, contenue dans le sein des femmes. Avant chaque combat, les Qwaser, bons ou méchants, doivent donc prendre la tétée, de gré ou de force.

Bon, le scénario est assez violent. Les scènes de combat sont assez figées, ce qui me semble, malgré mon inexpérience des mangas, propre au genre. Parfois, quand il y a beaucoup de personnages dans une scène, le dessin est assez chargé. Parfois, un personnage ou l'autre, même dans une scène dramatique, prend une pose ou fait des mimiques comiques, proche du ridicule. Je pense que la aussi, c'est caractéristique des mangas.

En bref, j'ai lu toute la série, donc, j'ai tout de même été assez accroché par l'histoire. J'étais en vacances, ça m'a reposé. Depuis, j'ai tenté d'autres expériences " manganèsques ", plus ou moins heureuses. Je n'ai pas assez de connaissances du manga pour pouvoir y naviguer sans écueil et y faire des choix judicieux. Le plus troublant, avec cette série, c'est qu'elle se termine par un début, de nouveaux combats et personnages et puis, plus de suite. Ca me laisse sur ma faim.

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The Qwaser of Stigmata, tome 10

Bon, je me lance pour toute la série :

Au XXIe siècle, les affrontements religieux se multiplient, notamment au Japon. C'est la remise en cause de la foi divine et pour certain, le rapprochement avec les idées obscurantistes du christianisme orthodoxe qui sont les racines de ce conflit. De son côté, Mafuyu Oribe et sa cousine Tomo Yamanobe, (qui est la fille du fondateur de l'école, qui, lui, à disparu), sont toutes les deux étudiantes à la prestigieuse académie St-Mikhailov. Elles font la connaissance d'un mystérieux jeune garçon à la chevelure argentée.

Son nom est Aleksander "Sasha" Nikolaevich Her. Ce dernier n’est autre qu’un Qwaser, créature qui tire son pouvoir du soma (substance liquide contenu dans les seins des femmes) et capable de manipuler un des matériaux du tableau périodique des éléments (oxygène, fer...). C’est le mystère qui plane autour d’une icône, censée exaucer tous les vœux, qui va mettre le feu aux poudres et entraîner l’académie dans la bataille sanglante contre d'autres Qwaser...Alesksander est le Qwaser du fer.

Plus jeune, j'étais assez accro à la bande dessinée. Je dois dire que depuis pas mal d'année, j'ai mis cet intérêt de côté. J'ai découvert cette série de manga par hasard, sans doute un lien partagé avec l'un de mes contacts sur un autre réseau social. Je n'avais jamais lu de manga. C'est donc ma première expérience avec ce genre si particulier. Déjà, lire en commençant par la dernière page d'un livre, c'est une habitude à prendre.

Qu'en penser ? Les dessins ne sont pas si mal, les jeunes femmes y sont admirablement dessinées. Ce qui m'a accroché, c'est ce rapport avec les éléments chimiques, surtout que l'élément du héros principal est le fer, moi qui suis forgeron, ...

On y retrouve d'ailleurs ce côté justicier avec ce métal. Légende qui a traversé les siècles depuis le début de la sidérurgie. Cette ambivalence liée à ce métal, le forgeron capable de forger pour la mort en façonnant l'épée ou pour la vie en forgeant un soc de charrue. (Lire Mircea Eliade, Forgeron et Alchimiste).

Pour le reste, les Qwaser doivent trouver une énergie leur permettant de pouvoir utiliser leur pouvoir sur la matière. Quand ils s'affrontent, c'est leur élément chimique contre celui de l'autre. Il suffit d'imaginer un métal sensible à l'oxydation comme le fer se battre contre l'oxygène. Leur nourriture est la Soma, contenue dans le sein des femmes. Avant chaque combat, les Qwaser, bons ou méchants, doivent donc prendre la tétée, de gré ou de force.

Bon, le scénario est assez violent. Les scènes de combat sont assez figées, ce qui me semble, malgré mon inexpérience des mangas, propre au genre. Parfois, quand il y a beaucoup de personnages dans une scène, le dessin est assez chargé. Parfois, un personnage ou l'autre, même dans une scène dramatique, prend une pose ou fait des mimiques comiques, proche du ridicule. Je pense que la aussi, c'est caractéristique des mangas.

En bref, j'ai lu toute la série, donc, j'ai tout de même été assez accroché par l'histoire. J'étais en vacances, ça m'a reposé. Depuis, j'ai tenté d'autres expériences " manganèsques ", plus ou moins heureuses. Je n'ai pas assez de connaissances du manga pour pouvoir y naviguer sans écueil et y faire des choix judicieux. Le plus troublant, avec cette série, c'est qu'elle se termine par un début, de nouveaux combats et personnages et puis, plus de suite. Ca me laisse sur ma faim.

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The Qwaser of Stigmata, tome 6

Bon, je me lance pour toute la série :

Au XXIe siècle, les affrontements religieux se multiplient, notamment au Japon. C'est la remise en cause de la foi divine et pour certain, le rapprochement avec les idées obscurantistes du christianisme orthodoxe qui sont les racines de ce conflit. De son côté, Mafuyu Oribe et sa cousine Tomo Yamanobe, (qui est la fille du fondateur de l'école, qui, lui, à disparu), sont toutes les deux étudiantes à la prestigieuse académie St-Mikhailov. Elles font la connaissance d'un mystérieux jeune garçon à la chevelure argentée.

Son nom est Aleksander "Sasha" Nikolaevich Her. Ce dernier n’est autre qu’un Qwaser, créature qui tire son pouvoir du soma (substance liquide contenu dans les seins des femmes) et capable de manipuler un des matériaux du tableau périodique des éléments (oxygène, fer...). C’est le mystère qui plane autour d’une icône, censée exaucer tous les vœux, qui va mettre le feu aux poudres et entraîner l’académie dans la bataille sanglante contre d'autres Qwaser...Alesksander est le Qwaser du fer.

Plus jeune, j'étais assez accro à la bande dessinée. Je dois dire que depuis pas mal d'année, j'ai mis cet intérêt de côté. J'ai découvert cette série de manga par hasard, sans doute un lien partagé avec l'un de mes contacts sur un autre réseau social. Je n'avais jamais lu de manga. C'est donc ma première expérience avec ce genre si particulier. Déjà, lire en commençant par la dernière page d'un livre, c'est une habitude à prendre.

Qu'en penser ? Les dessins ne sont pas si mal, les jeunes femmes y sont admirablement dessinées. Ce qui m'a accroché, c'est ce rapport avec les éléments chimiques, surtout que l'élément du héros principal est le fer, moi qui suis forgeron, ...

On y retrouve d'ailleurs ce côté justicier avec ce métal. Légende qui a traversé les siècles depuis le début de la sidérurgie. Cette ambivalence liée à ce métal, le forgeron capable de forger pour la mort en façonnant l'épée ou pour la vie en forgeant un soc de charrue. (Lire Mircea Eliade, Forgeron et Alchimiste).

Pour le reste, les Qwaser doivent trouver une énergie leur permettant de pouvoir utiliser leur pouvoir sur la matière. Quand ils s'affrontent, c'est leur élément chimique contre celui de l'autre. Il suffit d'imaginer un métal sensible à l'oxydation comme le fer se battre contre l'oxygène. Leur nourriture est la Soma, contenue dans le sein des femmes. Avant chaque combat, les Qwaser, bons ou méchants, doivent donc prendre la tétée, de gré ou de force.

Bon, le scénario est assez violent. Les scènes de combat sont assez figées, ce qui me semble, malgré mon inexpérience des mangas, propre au genre. Parfois, quand il y a beaucoup de personnages dans une scène, le dessin est assez chargé. Parfois, un personnage ou l'autre, même dans une scène dramatique, prend une pose ou fait des mimiques comiques, proche du ridicule. Je pense que la aussi, c'est caractéristique des mangas.

En bref, j'ai lu toute la série, donc, j'ai tout de même été assez accroché par l'histoire. J'étais en vacances, ça m'a reposé. Depuis, j'ai tenté d'autres expériences " manganèsques ", plus ou moins heureuses. Je n'ai pas assez de connaissances du manga pour pouvoir y naviguer sans écueil et y faire des choix judicieux. Le plus troublant, avec cette série, c'est qu'elle se termine par un début, de nouveaux combats et personnages et puis, plus de suite. Ca me laisse sur ma faim.

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The Qwaser of Stigmata, tome 3

Bon, je me lance pour toute la série :

Au XXIe siècle, les affrontements religieux se multiplient, notamment au Japon. C'est la remise en cause de la foi divine et pour certain, le rapprochement avec les idées obscurantistes du christianisme orthodoxe qui sont les racines de ce conflit. De son côté, Mafuyu Oribe et sa cousine Tomo Yamanobe, (qui est la fille du fondateur de l'école, qui, lui, à disparu), sont toutes les deux étudiantes à la prestigieuse académie St-Mikhailov. Elles font la connaissance d'un mystérieux jeune garçon à la chevelure argentée.

Son nom est Aleksander "Sasha" Nikolaevich Her. Ce dernier n’est autre qu’un Qwaser, créature qui tire son pouvoir du soma (substance liquide contenu dans les seins des femmes) et capable de manipuler un des matériaux du tableau périodique des éléments (oxygène, fer...). C’est le mystère qui plane autour d’une icône, censée exaucer tous les vœux, qui va mettre le feu aux poudres et entraîner l’académie dans la bataille sanglante contre d'autres Qwaser...Alesksander est le Qwaser du fer.

Plus jeune, j'étais assez accro à la bande dessinée. Je dois dire que depuis pas mal d'année, j'ai mis cet intérêt de côté. J'ai découvert cette série de manga par hasard, sans doute un lien partagé avec l'un de mes contacts sur un autre réseau social. Je n'avais jamais lu de manga. C'est donc ma première expérience avec ce genre si particulier. Déjà, lire en commençant par la dernière page d'un livre, c'est une habitude à prendre.

Qu'en penser ? Les dessins ne sont pas si mal, les jeunes femmes y sont admirablement dessinées. Ce qui m'a accroché, c'est ce rapport avec les éléments chimiques, surtout que l'élément du héros principal est le fer, moi qui suis forgeron, ...

On y retrouve d'ailleurs ce côté justicier avec ce métal. Légende qui a traversé les siècles depuis le début de la sidérurgie. Cette ambivalence liée à ce métal, le forgeron capable de forger pour la mort en façonnant l'épée ou pour la vie en forgeant un soc de charrue. (Lire Mircea Eliade, Forgeron et Alchimiste).

Pour le reste, les Qwaser doivent trouver une énergie leur permettant de pouvoir utiliser leur pouvoir sur la matière. Quand ils s'affrontent, c'est leur élément chimique contre celui de l'autre. Il suffit d'imaginer un métal sensible à l'oxydation comme le fer se battre contre l'oxygène. Leur nourriture est la Soma, contenue dans le sein des femmes. Avant chaque combat, les Qwaser, bons ou méchants, doivent donc prendre la tétée, de gré ou de force.

Bon, le scénario est assez violent. Les scènes de combat sont assez figées, ce qui me semble, malgré mon inexpérience des mangas, propre au genre. Parfois, quand il y a beaucoup de personnages dans une scène, le dessin est assez chargé. Parfois, un personnage ou l'autre, même dans une scène dramatique, prend une pose ou fait des mimiques comiques, proche du ridicule. Je pense que la aussi, c'est caractéristique des mangas.

En bref, j'ai lu toute la série, donc, j'ai tout de même été assez accroché par l'histoire. J'étais en vacances, ça m'a reposé. Depuis, j'ai tenté d'autres expériences " manganèsques ", plus ou moins heureuses. Je n'ai pas assez de connaissances du manga pour pouvoir y naviguer sans écueil et y faire des choix judicieux. Le plus troublant, avec cette série, c'est qu'elle se termine par un début, de nouveaux combats et personnages et puis, plus de suite. Ca me laisse sur ma faim.

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My Z Hime, tome 3

La révélation à la fin du tome 2 va être un peu le fil conducteur de ce tome-là. On va faire de bonne découverte et certaines choses s’emboîtent parfaitement, pour ceux qui suivent souvent le blog, j’avais parlé que dans le tome précédent, on avait tendance à partir dans plein de sens. Mais ayant déjà lu une série du même auteur, je savais que cela s’emboîterait à un moment donné. Et pour certaines de choses, nous y sommes à ce moment T. Mais nous voyons surtout une amitié se solidifier et des conflits territoriaux exploser ou sur le point de l’être. Mon avis va être un peu vide parce que je ne vais pas révéler certaines choses. Mais j’avoue que, j’ai été assez en admiration devant les combats. Ce tome-là montre un peu plus la gravité des choses, autant avant nous avions quand même beaucoup d’humour par plein de façon, autant là nous sommes plus dans le sérieux. Même si la fin du tome fini sur une pointe d’humour, avec un personnage qui découvre le vrai sexe de Mashiro. Une fin qui me donne trop envie de lire la suite, mais je désespère, je ne trouve pas la suite à des prix corrects, vu que le manga n’est plus édité cela devient compliqué de continuer. Je suis donc forcée de m’arrête sur le troisième tome de cette série, et je n’ai plus qu’à aller me consoler avec l’anime.





En conclusion, un tome qui marque un tournant sur plein de choses. Nous avons les choses qui commencent à s’emboîter petit à petit. Des combats assez sublimes malgré le fait que les dessins sont assez sombres. Un enchaînement de révélation, que je dois arrêter net vu que le série n’est plus publié, ce qui est dommage, j’aurais aimé lire les deux derniers, pour avoir l’ensemble des événements et des retombés.


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The Qwaser of Stigmata, tome 5

Bon, je me lance pour toute la série :

Au XXIe siècle, les affrontements religieux se multiplient, notamment au Japon. C'est la remise en cause de la foi divine et pour certain, le rapprochement avec les idées obscurantistes du christianisme orthodoxe qui sont les racines de ce conflit. De son côté, Mafuyu Oribe et sa cousine Tomo Yamanobe, (qui est la fille du fondateur de l'école, qui, lui, à disparu), sont toutes les deux étudiantes à la prestigieuse académie St-Mikhailov. Elles font la connaissance d'un mystérieux jeune garçon à la chevelure argentée.

Son nom est Aleksander "Sasha" Nikolaevich Her. Ce dernier n’est autre qu’un Qwaser, créature qui tire son pouvoir du soma (substance liquide contenu dans les seins des femmes) et capable de manipuler un des matériaux du tableau périodique des éléments (oxygène, fer...). C’est le mystère qui plane autour d’une icône, censée exaucer tous les vœux, qui va mettre le feu aux poudres et entraîner l’académie dans la bataille sanglante contre d'autres Qwaser...Alesksander est le Qwaser du fer.

Plus jeune, j'étais assez accro à la bande dessinée. Je dois dire que depuis pas mal d'année, j'ai mis cet intérêt de côté. J'ai découvert cette série de manga par hasard, sans doute un lien partagé avec l'un de mes contacts sur un autre réseau social. Je n'avais jamais lu de manga. C'est donc ma première expérience avec ce genre si particulier. Déjà, lire en commençant par la dernière page d'un livre, c'est une habitude à prendre.

Qu'en penser ? Les dessins ne sont pas si mal, les jeunes femmes y sont admirablement dessinées. Ce qui m'a accroché, c'est ce rapport avec les éléments chimiques, surtout que l'élément du héros principal est le fer, moi qui suis forgeron, ...

On y retrouve d'ailleurs ce côté justicier avec ce métal. Légende qui a traversé les siècles depuis le début de la sidérurgie. Cette ambivalence liée à ce métal, le forgeron capable de forger pour la mort en façonnant l'épée ou pour la vie en forgeant un soc de charrue. (Lire Mircea Eliade, Forgeron et Alchimiste).

Pour le reste, les Qwaser doivent trouver une énergie leur permettant de pouvoir utiliser leur pouvoir sur la matière. Quand ils s'affrontent, c'est leur élément chimique contre celui de l'autre. Il suffit d'imaginer un métal sensible à l'oxydation comme le fer se battre contre l'oxygène. Leur nourriture est la Soma, contenue dans le sein des femmes. Avant chaque combat, les Qwaser, bons ou méchants, doivent donc prendre la tétée, de gré ou de force.

Bon, le scénario est assez violent. Les scènes de combat sont assez figées, ce qui me semble, malgré mon inexpérience des mangas, propre au genre. Parfois, quand il y a beaucoup de personnages dans une scène, le dessin est assez chargé. Parfois, un personnage ou l'autre, même dans une scène dramatique, prend une pose ou fait des mimiques comiques, proche du ridicule. Je pense que la aussi, c'est caractéristique des mangas.

En bref, j'ai lu toute la série, donc, j'ai tout de même été assez accroché par l'histoire. J'étais en vacances, ça m'a reposé. Depuis, j'ai tenté d'autres expériences " manganèsques ", plus ou moins heureuses. Je n'ai pas assez de connaissances du manga pour pouvoir y naviguer sans écueil et y faire des choix judicieux. Le plus troublant, avec cette série, c'est qu'elle se termine par un début, de nouveaux combats et personnages et puis, plus de suite. Ca me laisse sur ma faim.

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The Qwaser of Stigmata, tome 4

Bon, je me lance pour toute la série :

Au XXIe siècle, les affrontements religieux se multiplient, notamment au Japon. C'est la remise en cause de la foi divine et pour certain, le rapprochement avec les idées obscurantistes du christianisme orthodoxe qui sont les racines de ce conflit. De son côté, Mafuyu Oribe et sa cousine Tomo Yamanobe, (qui est la fille du fondateur de l'école, qui, lui, à disparu), sont toutes les deux étudiantes à la prestigieuse académie St-Mikhailov. Elles font la connaissance d'un mystérieux jeune garçon à la chevelure argentée.

Son nom est Aleksander "Sasha" Nikolaevich Her. Ce dernier n’est autre qu’un Qwaser, créature qui tire son pouvoir du soma (substance liquide contenu dans les seins des femmes) et capable de manipuler un des matériaux du tableau périodique des éléments (oxygène, fer...). C’est le mystère qui plane autour d’une icône, censée exaucer tous les vœux, qui va mettre le feu aux poudres et entraîner l’académie dans la bataille sanglante contre d'autres Qwaser...Alesksander est le Qwaser du fer.

Plus jeune, j'étais assez accro à la bande dessinée. Je dois dire que depuis pas mal d'année, j'ai mis cet intérêt de côté. J'ai découvert cette série de manga par hasard, sans doute un lien partagé avec l'un de mes contacts sur un autre réseau social. Je n'avais jamais lu de manga. C'est donc ma première expérience avec ce genre si particulier. Déjà, lire en commençant par la dernière page d'un livre, c'est une habitude à prendre.

Qu'en penser ? Les dessins ne sont pas si mal, les jeunes femmes y sont admirablement dessinées. Ce qui m'a accroché, c'est ce rapport avec les éléments chimiques, surtout que l'élément du héros principal est le fer, moi qui suis forgeron, ...

On y retrouve d'ailleurs ce côté justicier avec ce métal. Légende qui a traversé les siècles depuis le début de la sidérurgie. Cette ambivalence liée à ce métal, le forgeron capable de forger pour la mort en façonnant l'épée ou pour la vie en forgeant un soc de charrue. (Lire Mircea Eliade, Forgeron et Alchimiste).

Pour le reste, les Qwaser doivent trouver une énergie leur permettant de pouvoir utiliser leur pouvoir sur la matière. Quand ils s'affrontent, c'est leur élément chimique contre celui de l'autre. Il suffit d'imaginer un métal sensible à l'oxydation comme le fer se battre contre l'oxygène. Leur nourriture est la Soma, contenue dans le sein des femmes. Avant chaque combat, les Qwaser, bons ou méchants, doivent donc prendre la tétée, de gré ou de force.

Bon, le scénario est assez violent. Les scènes de combat sont assez figées, ce qui me semble, malgré mon inexpérience des mangas, propre au genre. Parfois, quand il y a beaucoup de personnages dans une scène, le dessin est assez chargé. Parfois, un personnage ou l'autre, même dans une scène dramatique, prend une pose ou fait des mimiques comiques, proche du ridicule. Je pense que la aussi, c'est caractéristique des mangas.

En bref, j'ai lu toute la série, donc, j'ai tout de même été assez accroché par l'histoire. J'étais en vacances, ça m'a reposé. Depuis, j'ai tenté d'autres expériences " manganèsques ", plus ou moins heureuses. Je n'ai pas assez de connaissances du manga pour pouvoir y naviguer sans écueil et y faire des choix judicieux. Le plus troublant, avec cette série, c'est qu'elle se termine par un début, de nouveaux combats et personnages et puis, plus de suite. Ca me laisse sur ma faim.

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The Qwaser of Stigmata, tome 2

Bon, je me lance pour toute la série :

Au XXIe siècle, les affrontements religieux se multiplient, notamment au Japon. C'est la remise en cause de la foi divine et pour certain, le rapprochement avec les idées obscurantistes du christianisme orthodoxe qui sont les racines de ce conflit. De son côté, Mafuyu Oribe et sa cousine Tomo Yamanobe, (qui est la fille du fondateur de l'école, qui, lui, à disparu), sont toutes les deux étudiantes à la prestigieuse académie St-Mikhailov. Elles font la connaissance d'un mystérieux jeune garçon à la chevelure argentée.

Son nom est Aleksander "Sasha" Nikolaevich Her. Ce dernier n’est autre qu’un Qwaser, créature qui tire son pouvoir du soma (substance liquide contenu dans les seins des femmes) et capable de manipuler un des matériaux du tableau périodique des éléments (oxygène, fer...). C’est le mystère qui plane autour d’une icône, censée exaucer tous les vœux, qui va mettre le feu aux poudres et entraîner l’académie dans la bataille sanglante contre d'autres Qwaser...Alesksander est le Qwaser du fer.

Plus jeune, j'étais assez accro à la bande dessinée. Je dois dire que depuis pas mal d'année, j'ai mis cet intérêt de côté. J'ai découvert cette série de manga par hasard, sans doute un lien partagé avec l'un de mes contacts sur un autre réseau social. Je n'avais jamais lu de manga. C'est donc ma première expérience avec ce genre si particulier. Déjà, lire en commençant par la dernière page d'un livre, c'est une habitude à prendre.

Qu'en penser ? Les dessins ne sont pas si mal, les jeunes femmes y sont admirablement dessinées. Ce qui m'a accroché, c'est ce rapport avec les éléments chimiques, surtout que l'élément du héros principal est le fer, moi qui suis forgeron, ...

On y retrouve d'ailleurs ce côté justicier avec ce métal. Légende qui a traversé les siècles depuis le début de la sidérurgie. Cette ambivalence liée à ce métal, le forgeron capable de forger pour la mort en façonnant l'épée ou pour la vie en forgeant un soc de charrue. (Lire Mircea Eliade, Forgeron et Alchimiste).

Pour le reste, les Qwaser doivent trouver une énergie leur permettant de pouvoir utiliser leur pouvoir sur la matière. Quand ils s'affrontent, c'est leur élément chimique contre celui de l'autre. Il suffit d'imaginer un métal sensible à l'oxydation comme le fer se battre contre l'oxygène. Leur nourriture est la Soma, contenue dans le sein des femmes. Avant chaque combat, les Qwaser, bons ou méchants, doivent donc prendre la tétée, de gré ou de force.

Bon, le scénario est assez violent. Les scènes de combat sont assez figées, ce qui me semble, malgré mon inexpérience des mangas, propre au genre. Parfois, quand il y a beaucoup de personnages dans une scène, le dessin est assez chargé. Parfois, un personnage ou l'autre, même dans une scène dramatique, prend une pose ou fait des mimiques comiques, proche du ridicule. Je pense que la aussi, c'est caractéristique des mangas.

En bref, j'ai lu toute la série, donc, j'ai tout de même été assez accroché par l'histoire. J'étais en vacances, ça m'a reposé. Depuis, j'ai tenté d'autres expériences " manganèsques ", plus ou moins heureuses. Je n'ai pas assez de connaissances du manga pour pouvoir y naviguer sans écueil et y faire des choix judicieux. Le plus troublant, avec cette série, c'est qu'elle se termine par un début, de nouveaux combats et personnages et puis, plus de suite. Ca me laisse sur ma faim.

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My Hime, tome 4

Comme je le disais dans mon avis pour le tome précédent, on entre de plus en plus dans le vif de l’action. Et l’arrivée de nouveaux personnages va fortement contribuer à ce phénomène. Mon avis va être assez court, cela fait un moment que je l’ai lu et j’ai traîné trop longtemps pour faire mon avis. Surtout parce que j’avais peur qu’il ne soit trop répétitif et aussi parce que j’en avais plein d’autres en attente. On avance considérablement dans ce tome, en même temps la fin est assez proche. Et ce volume me paraît moins épais que les précédents. On a moins de seins et de culotte à l’air. En même temps c’est du Shonen, donc il ne faut pas trop chercher. Par contre, le côté combat est bien plus présent. Ce qui fait partir l’histoire dans un peu tous les sens. On a cette impression d’ingurgiter trop de nouvelles, trop de révélations. Mais au final les choses s’emboîtent les unes dans les autres. La fin est assez énigmatique, qui nous permet de rester accroché et curieux à la fois.



En conclusion, je n’aime pas spécialement cette version-là, mais elle se lit assez bien. Et elle reste très intéressante. Les choses arrivent bien trop vite, j’ai l’impression que l’auteur bâcle son histoire, mais lorsque l’on referme le livre, les choses s’emboîtent parfaitement sans fausse note. Un tome final à lire qui sera sûrement explosif et assez sombre, je pense.
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My Hime, tome 3

Ce tome-là est assez puissant. On part un peu dans plein de sens et on a plein de révélations à la fois. C’est assez impressionnant, cela peut paraître brouillon ou autres. Mais on arrive toujours à se situer et à voir que les choses s’emboîtent au fur et à mesure de notre lecture. J’ai lu rapidement ce tome-là, parce qu’il est très entraînant et harponnant à la fois. Puis l’apparition de nouvelles personnes avec de nouvelles Himes éveille beaucoup notre curiosité du coup, vous lisez les pages assez rapidement afin de savoir ce qui va se passer. Il y a un chapitre qui porte parfaitement bien son nom, c’est « Une histoire s’achève, une autre commence ». Qui résume parfaitement bien ce tome et aussi ce changement dans l’histoire. On comprend que les choses vont devenir bien plus sérieuses pour nos personnages principaux. Comme je le disais plus haut, c’est vraiment le moment des révélations, on apprend plein de choses sur les Himes, sur les histoires de clés et tout ça. On fait un véritable bon dans l’avancement de l’histoire. Les dessins sont toujours pareils pour ma part, mais je m’y habitue de plus en plus. J’ai fini de comparer avec l’anime lors de la lecture de ce tome-là. C’est assez étrange et en même temps très bien, vu que cela me permets d’apprécier amplement mon manga. La fin est vraiment hallucinante et me donne envie de plonger dans la suite sans attendre, ce que je vais faire.



En conclusion, un tome vraiment important et mouvementer. On va de révélation en révélation, donc d’événement en événement. On ne s’ennuie pas, limite, on a l’impression d’être tombé dans un monde de fous avec tous ce qui se passer et tout ce qui va se passer une fois que les révélations tombe. J’ai vraiment hâte de lire les deux derniers.
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My Hime, tome 2

Cette suite est assez dynamique et survoltée. Nous avons deux camps d’Himes qui s’affronter pour des raisons un peu bizarres et stupides mais bon, il ne faut pas trop chercher. Parce que mine de rien, après la lecture du premier tome, on se demande quelle fille peut-être une Hime ou non. Avec ce combat, on en découvre pleins d’autres. Mais on découvre aussi une directrice pas si enfantine que cela, je me demande ce qu’elle a derrière la tête et ce que son personnage va nous apporter de plus. Nous avons aussi l’arrivée du fameux Nagi qui fait apparaître de bien étranges petites bébêtes, personnage très énigmatique qui pour le moment nous offre plus des questions que de réponse. Sinon, nous avons de petites histoires qui se créer à droite à gauche, certaines finissent par s’emboîter. Le dessin est toujours aussi mal fait, pour ma part. Après on entre plus dans le côté combat avec des dégâts autant niveau bâtiments qu’humains. D’ailleurs, je me demande comme l’école tien encore debout, mais bon c’est juste un détail. Nous avons une petite dose d’humour qui fait parfois son chemin. Après, j’aime beaucoup comparer avec l’anime s’est marrant comme l’histoire diffère et, pourtant, nous avons les mêmes caractères au niveau des personnages, qui m’avaient beaucoup séduite durant mon visionnage. La fin est assez sympa, j’aime beaucoup le personnage qui va entrer en jeu, elle est pleine de vitalité et assez drôle.



En conclusion, nous entrons dans un moment de combat. Mais nous n’avons toujours pas une d’idée précise sur la fin et, pourtant, il nous reste 3 tomes. Ce qui est assez court, donc forcément si vous connaissez l’anime, cela donne l’impression que beaucoup de choses sont bâclées voire oubliées. L’arrivée d’une autre Hime va redonner un peu le ton, je pense.
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My Hime, tome 1

Cela fait un moment que je ne l’avais pas lu. Mon avis reste le même pourtant. J’avoue que la différence m’avait déjà bien sauté aux yeux entre l’anime et le manga. Autant l’anime tourne plus du côté shôjo voire Magical girl et que le manga entre plus dans le Shonen, avec ses filles aux seins disproportionnés et leurs culottes que l’on voit bien trop souvent. Le point de vue aussi change dans l’anime, on a le point de vue d’une fille tandis que là c’est plus masculin. Enfin bref, mis à part et le fait que l’histoire diffère complètement, nous avons un peu le même monde. Ses filles avec des pouvoirs et des Child, dont nous ignorons complètement la provenance mais aussi l’intérêt et le but de l’histoire. Pourtant, je le lis quand même avidement, parce que je ne me rappelle plus vraiment la version de l’histoire du manga même si j’ai revu il y a très peu l’anime. Je ne suis pas forcément fan du graphisme, je trouve les personnages pas très bien fait. Mais après je ne pense pas que ce manga soit là pour plaire aux filles. Et, pourtant, l’histoire est assez intéressante, même si dans ce premier tome, nous débarquons plus comme un cheveu dans la soupe, et l’on essaye de comprendre ce qui se passe dans cette école dirigée par une gamine. D’ailleurs, les adultes sont très peu présents dans ce manga. Ce qui nous ne fait pas forcément tilt tous de suite, mais quand on y regarde de plus près pour le moment, nous voyons que la jolie petite infirmière. Sinon la base de l’histoire est que Taté arrive dans une école et découvre des Himes (HIghly-advander Materialising Equipement), mais il s’avère aussi que le pauvre est la clé de deux Himes afin d’invoquer ce qu’ils appellent leur Child. Le pauvre se retrouve au milieu de deux filles qui sont incapable de se supporter. On le plaint donc d’avance…



En conclusion, je me rappelle plus pourquoi j’avais gardé ce manga. Il est tellement différent par bien des aspects de l’anime, que forcément lors de ma relecture, je suis toujours aussi déçue. Pourtant, je vais finir la série, parce qu’au fond, j’adore l’histoire. Mais pour celles qui veulent découvrir, il faut vraiment regarder l’anime et non le lire.
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My Hime, tome 5

Un tome final comme je l’attendais. Avec beaucoup plus de sérieux et un petit côté sombre en même temps. On sent que les choses sont vraiment importantes et que l’avenir du monde est entre les mains des Himes. Je vais avoir du mal à faire mon avis sans vous dévoiler l’essentiel, mais je vais essayer, de ce fait, il sera assez pauvre. J’ai été plutôt surprise par le déroulement des choses même si on sait que cela sera un happy end, je le sais surtout parce que j’ai regardé la dernière page comme toujours. Mais l’auteur a su parfois me dérouter. Même si j’avais une impression, comme pour les tomes précédents, de partir dans tous les sens. Mais les choses finissent par s’emboîter et cela donne une bonne fin. Même si elle me paraît bien trop simple et que l’union des Himes n’est pas assez mise en avant ou pas assez exploitée. On retrouve un peu d’humour sur la fin qui nous permet de finir sur une note assez légère.



En conclusion, je préfère dix fois l’anime à la version papier. Mais en même temps il y a une énorme différence sur le genre entre les deux. Donc forcément une préférence. Mais cela reste une série assez sympathique une fois que l’on laisse les gros seins et les culottes bien trop visibles de côté. L’intrigue et l’univers sont bien faits. Il manque juste cruellement de développement, mais en 5 tomes, c’est assez court donc il y a forcément de grosses lacunes. Mais je ne suis pas déçue de ma relecture, cela me donne vraiment envie de revoir l’anime.
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