Je pénètre dans l'obscurité du bar où la climatisation lutte en vain contre l'énergie qui se dégage de trois ou quatre cents corps d'hommes en sueur.
Ils sont tous roses. Ca me surprend toujours. Ils sortent des puits de mine ou d'extraction à ciel ouvert et vont droit au pub, chaque centimètre carré de chair exposée incrusté de poussière rose. On dirait qu'ils sont tous maquillés à la truelle.