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Citation de Bazart


Quiconque l'a eu entre les mains se souvient forcément du tout premier roman de Douglas Kennedy : « Cul de sac », réédité plusieurs années après une fois que l'auteur est devenu célèbre tant cette course contre la montre dans le bush australien était haletante et glaciale, malgré la chaleur insoutentable du climat austral. ON y suivait un touriste américain qui, traversant l’Australie en voiture, se retrouvait marié contre son gré et prisonnier d’une communauté de cinglés vivant dans un coin pourri et ignoré de tous nommé Wollanup qui tentait en vain de sortir de cet enfer proche de l'apocalypse.

En lisant "A toute berzingue » , court roman du romancier australien décédé depuis plusieurs années Kenneth Cook ( auteur d'un chef d'oeuvre « cinq matins de trop »), on y pense d'autant plus que Douglas Kennedy s'est chargé d'écrire la préface et explique à quel point ce roman méconnu chez nous l'a influé sur son premier roman et tout son travail d'écrivains.

Les points communs entre les deux livres sont évidents : même décor, même tension, même traque infernale menée tambour battant., meme faune hostile

On est heureux que ce roman terrifiant et haletant ait été été exhumé par la fille de Cook après sa mort.

Rallye infernal et chasse à l'homme à travers l'outback.le bush australien , ses aborigènes et son outback. apparait sous le plume de Cook comme plus effrayant et opressant que jamais pour un polar choc qui ne laisse aucun répit au lecteur qui transpire avec ses pauvres héros
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