En ce temps, j’ignorais qu’il existât des lieux autres que le monastère où je puisse vivre, car les moines m’avaient exhorté à ne croire qu’à leur mode de vie.
Ils avaient inculqué à mon esprit la soumission et le désespoir afin que je considérasse le monde comme un océan de chagrins et d’infortunes, et le monastère comme le havre du salut.
(page 56)